1. Nymphomane, moi ? Tome III (4)


    Datte: 07/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... le contrariait.
    
    — Approche... me dit Victor.
    
    Lentement, en regardant Alfred, il écarta largement les bords des fentes de la nuisette pour bien dégager mes deux seins. Il les malaxa longuement, suça les pointes qui durcirent, en fixant le vieil homme avec un petit air de défi.
    
    — Tu vois, me dit-il. Tes nichons sont assez fermes, pas besoin de support... par contre, tu sais que j’adore tes mamelons... surtout lorsqu’ils sont en érection comme maintenant... on va faire en sorte qu’ils le soient en permanence...
    
    Il sortit de sa poche un écrin noir, l’ouvrit et exhiba un bijou en or. Il s’approcha de moi et m’accrocha la parure autour du cou. Ce collier de poitrine disposait d’une goutte d’hématite à chacun des deux tétons ainsi qu’une autre à la hauteur du décolleté, il était relié à un tour de cou en or par l’intermédiaire d’une discrète main en métal précieux donnant l’impression de maîtrise de la situation. Elle tenait un anneau duquel partaient deux chaînettes, le chemin tracé par celles-ci attirait obligatoirement les regards vers les tétons, enserrés par de fines cordelettes de satin noir. Victor fit passer le nœud coulant autour de chaque mamelon, je frissonnai de plaisir. Il serra... je gémis de contentement... mes mamelons s’érigèrent en deux dômes parfaits, il ajusta les petits nœuds coulant au ras de mes aréoles serrant un peu plus. Puis sa bouche se posa sur le bout de mes seins durcis et il se mit à les aspirer à tour de rôle, me tirant des gémissements ...
    ... de plaisir.
    
    Les mamelons sont une zone particulièrement érogène chez moi.
    
    Sa main descendit entre mes fesses, et son majeur s’insinua dans ma chatte qui commençait à mouiller sous les habiles caresses du vieux pervers. Je jetai un coup d’œil à Alfred qui se tenait coi à deux mètres de notre couple. Il avait la mine renfrognée. Pour le rendre encore plus jaloux, je me mis à caresser la bite de Victor à travers son pantalon. Victor me repoussa gentiment.
    
    — Trixie, tu restes ainsi... Qu’en pensez-vous Alfred ? Mademoiselle n’est-elle pas mieux ainsi ? Si ses tétons diminuent un peu, il suffit de tirer un peu sur la goutte d’hématite... comme ceci...
    
    Sous la légère douleur, mes mamelons se tendirent encore plus...
    
    — Et attention, Alfred pendant trois jours c’est moi le Boss... vous ne la touchez qu’avec ma permission... Mais vous pouvez vous rincer l’œil tant que vous voulez... Allez, Trixie, sors ma queue et tu suces la grosse bite de ton nouveau patron...
    
    Je débouclai sa ceinture, il ne portait jamais de slip... le pantalon tomba sur les chevilles, son sexe de vingt-cinq centimètres se tendit sous mes caresses, il jaillit. Je tombai à genoux, le pris dans ma bouche, en regardant le vieil Alfred. Je dus le sucer longtemps avant que le liquide chaud et visqueux ne s’épanchât dans ma gorge...
    
    Le nouveau majordome s’acquitta toute la matinée de sa tâche domestique, fit le ménage... astiqua les meubles. J’allai prendre une douche, il me suivit. Je le vis par la ...
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