1. Vacances, la fête au village


    Datte: 07/08/2022, Catégories: fh, ffh, vacances, campagne, danser, fête, amour, cérébral, odeurs, caresses, intermast, Oral pénétratio, rencontre, Auteur: Birdies, Source: Revebebe

    ... à la caresse de ce que j’imagine être une poitrine ferme et généreuse. Une douce toison se colle sur mes fesses. L’érection attendue se précise. Isabelle m’embouche aussitôt, me poussant sur le dos. Je découvre alors Géraldine, l’amie aperçue à la fête. Ses lèvres viennent aux miennes, délicatement, presque superficiellement. Isabelle continue son œuvre et contemple mon érection, matinale ou pas. J’ai perdu toute notion du temps.
    
    Elle se relève, sa main court sur le dos de Géraldine. Elles s’embrassent, se cajolent. Je suis sans voix, ne cherchant pas à réfléchir, à raisonner.
    
    — Tiens, profite toi aussi, dit-elle à son amie.
    
    Voilà l’invitée qui me chevauche, appuyant ses lèvres intimes sur mon mâle attribut. Ses lèvres font un écrin magique sur mon érection ; s’enchaîne une danse diabolique, son sexe coulissant sur le mien dans une sarabande de glissements. C’est énorme comme sensation. Son bassin bouge guidant son pubis dans cette caresse extraordinaire. Isabelle vient m’embrasser, me câliner. J’atteins le sublime du plaisir. Enfin, je croyais, avant qu’une main ne guide ma bite dans cette grotte inconnue, incandescente, inondée. Elle s’empale sur mon sexe sans à-coup et commence une tendre chevauchée. S’appuyant sur ma poitrine, elle monte et descend avec une lenteur calculée. Je glisse une main entre nous flattant son clitoris.
    
    Mon cerveau est débranché, en court-circuit. Les deux femmes s’embrassent, Isabelle agaçant les bouts des seins de son amie. Pris au ...
    ... jeu, j’assume mon rôle et apporte mon envie. Ma main investit le sexe d’Isabelle, mon pouce sur son clitoris. J’entreprends un mouvement continu, sortant rentrant, suivant le rythme de ma cavalière. L’explosion de nos trois plaisirs arrive, brutale, puissante, énorme. Le silence s’installe, troublé par le bruit de nos respirations. Sans un mot, Géraldine me donne un baiser rapide et quitte la chambre. La vision de ses fesses blanches s’éloignant est surréaliste. Les mains d’Isabelle courent sur torse effleurant ma peau du bout de ses doigts. Elle se lève.
    
    Une douce voix m’invite à la rejoindre sous la douche. Elle m’attend. Ses mains massent mon corps endolori avec tendresse. Toute fatigue s’envole, le soleil emplit la maison, la musique apporte une douce harmonie à cette ambiance d’une fête sans fin. Les deux garçons, accompagnés de deux frimousses blondes, conquêtes de la fête, ont préparé un brunch copieux et bien apprécié par nous tous. L’après-midi s’avance, Isabelle m’embrasse souvent. Je suis perplexe, un peu perdu par ses marques d’affection alors que je fus offert à son amie. Les deux jeunes « frimousses » prennent congé, rapidement, naturellement.
    
    L’heure de partir, pour moi, sonne au clocher. Je me lève à regret, réalisant que ma voiture est à Fillols soit huit kilomètres.
    
    J’entends alors le moteur d’une voiture qui me rappelle quelque chose. Isabelle m’attend dans sa voiture avec un grand sourire.
    
    — Allez, viens, je te raccompagne.
    
    Seul le ronron du ...