1. Comment le Covid m'a transformé en fils incestueux (1)


    Datte: 05/08/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Fredhdf, Source: Xstory

    ... c’est peine perdue.
    
    Maman sonne donc chez moi aux alentours de 19 heures. Je viens lui ouvrir. Contrairement à ce que j’aurais pu imaginer, elle est vêtue comme pour un dîner chic : sous son manteau, je devienne un chemisier blanc et une jupe noire discrètement fendue. Je lui prends son manteau.
    
    "Mais tu es rouge écarlate !" s’exclame-t-elle. Effectivement, ma fièvre s’est accentuée. "Ne t’approche pas trop", lui dis-je, "tu risques d’être touchée également". Elle n’en fait rien, s’approche de moi et pose sa main sur ma joue. Son bras tendu étire son chemisier, et je ne peux m’empêcher d’observer sa poitrine se dessinant dans ce vêtement moulant, rendu légèrement transparent sous la lumière du lustre. Je suis fiévreux...ce qui ne m’empêche de bander contre ma volonté.
    
    Je lui propose de venir s’installer dans le canapé, et je dois reconnaître que cette situation me rappelle étrangement l’accueil de mes conquêtes féminines. Elle m’annonce avec autorité qu’elle dormira cette nuit dans le canapé afin de surveiller l’évolution de mon cas. Je n’ai pas la force de refuser.
    
    La soirée se passe. Elle m’a préparé un dîner tout simple, puis nous regardons une émission sans intérêt à la télé. Elle est recroquevillée à ma droite, faisant remonter sa jupe. Dans la semi obscurité, mon oeil est attiré par la vision du haut de ses jambes. Visiblement, ce sont des bas qu’elle porte, non des collants, et cette idée réactive mon excitation. Je pose un coussin sur mon entrejambe pour ...
    ... éviter qu’elle ne s’en rende compte.
    
    Il est 22h30, la fatigue me gagne, je lui annonce que je monte dans ma chambre. Maman va donc dormir dans ce canapé qui a connu tant d’assauts sexuels...Elle demande à utiliser la salle de bains pour pouvoir se déshabiller et se rafraîchir. Quand elle en sort, je suis déjà au fond de mon lit. La porte de ma chambre s’entrouvre : elle tient à me souhaiter bonne nuit. Dans un demi-sommeil, je ne peux que sursauter en la découvrant dans l’entrebâillement de la porte, éclairée par la lumière du couloir.
    
    Se rend-elle compte de ses formes ainsi offertes à ma vue ? Je peux deviner ses tétons pointés sous la chemise de nuit...et même l’ombre formée par sa toison de femme brune. Réalisant apparemment l’émoi qu’elle suscite, et s’en amusant visiblement, elle me souhaite bonne nuit et referme ma porte de chambre.
    
    Mon excitation est à son comble. Sous la couverture, je saisis mon membre à pleine main, et il ne me faut qu’une dizaine de va-et-vient pour provoquer un puissant geyser qui atterrit dans les draps. Je suis à la fois soulagé et un peu honteux de m’être caressé en pensant à ma mère. Avouons-le, ce n’était pas la première fois...mais jamais avec une telle envie.
    
    La nuit se passe, agitée, le virus faisant son effet. Ma fièvre ne diminue pas, au contraire, et je me réveille dans des draps trempés par la transpiration. Pas d’autre solution que de les remplacer par des draps propres et secs. Même chose pour mon pyjama, que je retire ...