1. À trois c'est mieux ?


    Datte: 02/02/2018, Catégories: fh, hh, hbi, hplusag, fplusag, frousses, rousseurs, couplus, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, confession, couplea3, Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe

    ... déclamé par Julien qui sort de sa réserve et dit la joie qu’il a de partager avec sa femme ses envies les plus secrètes ainsi que d’avoir trouvé un partenaire aussi compréhensif.
    
    Par un signe de la main, Marlène intime à son chéri de m’emmener dans leur chambre. Il me couche sur le lit et pose ses lèvres sur les mienne sans appuyer, comme une caresse. Je suis étendu, nu sur le lit comme la mère de mon élève la veille. L’attente est longue, insoutenable, pourtant ma verge ne mollit pas, et elle a bien raison. Elle arrive, ferme la porte et vient se mettre à califourchon sur moi. Les baisers sont torrides, nos mains pressantes, tous nos sens en éveil, uniquement guidés pour donner du plaisir à l’autre.
    
    Le lit est un champ de bataille et je goûte enfin ses liqueurs intimes sans aucune contrainte. D’ailleurs dans le même temps, elle prend possession de ma virilité. Chacun léchouillant l’autre de manière inventive, surprenante. Il n’y a pas de limite à notre corps à corps.
    
    Nos fouilles sont profondes, parfois cochonnes, sûrement interdite dans certains pays. Même mon corps subit des outrages qu’elle a refusés à son mari. Nous sommes sur la même longueur d’onde, nous comprenons les désirs de l’autre.
    
    Elle m’avoue que cet entracte ne devait durer que quelques minutes, qu’elle ne devait que m’exciter pour que je puisse prendre son mari une nouvelle fois.
    
    Lorsqu’elle me dit cela, il est déjà quatre heures du matin, je trouve Julien très patient. S’ensuit une ...
    ... discussion sur la nouvelle tournure de notre relation, mes sentiments pour Marlène sont très forts et je comprends à demi-mots qu’ils sont partagés. Fini de jouer, l’amour nous a pris.
    
    Nous décidons de le faire venir, avec nous dans la chambre, c’est moi qui aie la lourde tâche d’aller le chercher. Je le retrouve nu en train de dormir sur le canapé. Je le réveille doucement et lui demande de me suivre, ce qu’il fait sans poser la moindre question.
    
    Il accepte nos excuses mais c’est avec un sourire non feint qu’il vient partager nos ébats. Jusqu’au bout de la nuit, nous nous sommes mélangés et aimés. Je me suis fait sodomiser pour la première fois, plusieurs autres fois ont suivi. Nous nous sommes sentis libres durant les jours qui suivirent. Nous nous sommes roulés dans la luxure sans aucune limite, sans sortir de la maison. Toutes les pièces ont été visitées, le jardin aussi a abrité quelques séances acrobatiques. Par couple ou à trois, rien ne nous a été épargné.
    
    Ces trois nuits et autant de jours durant lesquels nous nous sommes mélangés ne sont, dans mon souvenir, qu’une suite ininterrompue de baise entrecoupée de siestes et de casse-dalle. Personne n’est allé travailler, personne n’a téléphoné pour s’excuser de son absence, le téléphone fut décroché, la porte d’entrée verrouillée.
    
    En y repensant la seule limite fixée par Marlène est particulièrement bizarre, je fus le seul à pouvoir honorer ses fesses et encore seulement lorsque nous étions seuls. Par contre seul avec ...