1. À trois c'est mieux ?


    Datte: 02/02/2018, Catégories: fh, hh, hbi, hplusag, fplusag, frousses, rousseurs, couplus, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, confession, couplea3, Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe

    ... te remercier permets-moi de t’offrir…
    
    Alors là, tout me passe par la tête, je vais pourvoir enfin profiter des atouts de la belle, nous allons faire des galipettes dans toute la maison, je vais pourvoir visiter son minou que j’imagine aussi foisonnant que l’est la raie de son homme.
    
    — … ce cadeau.
    
    Elle tend son doigt vers un paquet sur la table basse. Déçu, je vais ouvrir, enfin déchirer le papier, pour découvrir au milieu d’un fatras de papier journaux en boulle un petit bristol sur lequel est écrit :
    
    Voilà, le moment tant attendu est proche. Deux trois respirations et je monte les escaliers, le temps d’arriver à la porte de la chambre, je suis déjà en érection ; lorsque j’ouvre, j’ai l’impression de grossir encore, est-ce possible ? Elle est étendu sur le lit, entièrement nue, tournée vers l’entrée et me sourit.
    
    Nous sommes dans la pénombre, mais je perçois sans problème toutes les courbes harmonieuses de son corps. Comme un élève premier de la classe, j’applique à la lettre les directives, seule ma langue est en action.
    
    Les pieds sont les premiers à subir mes assauts, suivis des jambes. Dès que mes lèvres entrent en contact avec sa peau, un petit soufflement d’agacement vient me réprimander. Compliqué et fatigant de tenir sa langue dardée autant de temps. Lorsque j’arrive devant l’affolante forêt, ma langue commence à devenir douloureuse, surtout que l’accès est rendu ardu par les jambes serrées. La coquine s’amuse à me torturer ; c’est du bout de la ...
    ... langue que j’arrive à effleurer ses lèvres, et au prix de grandes contorsions, pour éviter que mon nez ne touche son ventre rond. Ce nez qui me sert à humer les odeurs exquises et chaudes dont je ne peux goûter.
    
    J’abdique et remonte le long du ventre et j’arrive sur sa douce poitrine que je lèche et pourlèche facilement. Je ressens la dureté des mamelons, les moindres aspérités des aréoles. Je prends un tel pied que je souille les draps. Les derniers coups de langues sont pour ses lèvres, celles du visage. C’est au moment où la pointe de mon muscle entre en contact avec sa chair qu’elle m’attrape pour coller ma bouche à la sienne afin de me donner un puissant baiser.
    
    Elle me repousse aussi brutalement qu’elle m’a invité.
    
    — Merci d’avoir suivi mes indications, à demain…
    
    Je descends les marches non sans avoir jeté un dernier regard sur Marlène qui, souriante, me murmure à nouveau :
    
    — À demain…
    
    En bas de l’escalier, je trouve mes affaires pliées sur la dernière marche. Je m’habille et m’en vais une douleur persistante dans la bouche. Il me tarde déjà demain…
    
    oooOOOooo
    
    Journée de merde ! Les chefs sur mon dos tout le temps, pause déjeuner écourtée et pour finir, je sors une heure et demi plus tard que d’habitude. Lorsque j’arrive chez mes amants, c’est Julien qui me reçoit en me disant qu’ils croyaient que je ne voulais plus venir les voir. Petite explication sur les causes et le couple pervers reprend son rôle.
    
    Marlène me demande de patienter dans ...
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