1. À trois c'est mieux ?


    Datte: 02/02/2018, Catégories: fh, hh, hbi, hplusag, fplusag, frousses, rousseurs, couplus, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, confession, couplea3, Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe

    Été 1992, j’ai vingt-trois ans et je viens de trouver mon premier travail après dix mois passés à crapahuter dans les bois en tenue camouflage. Ma copine est descendue sur Montpellier pour m’aider à emménager mon studio et puis est partie le week-end terminé. La première soirée seul est morne, je m’ennuie et regarde le film du dimanche sur le tube cathodique grésillant.
    
    L’ambiance dans les bureaux de la société qui m’emploie est agréable, je suis pris en main par quelques collègues et tout va pour le mieux. Je vois ma tendre chérie tous les week-ends, soit elle vient chez moi, soit je squatte chez ses parents. Le train-train de la vie de travailleur qui contraste avec les virées de la période estudiantine et celles du service militaire. J’avoue que je m’ennuie le soir venu. De temps à autre, je vais me faire un cinéma mais seul c’est pesant, parfois je suis invité par mes collègues. Le souci c’est qu’ils ou elles sont tous mariés avec des enfants, pas trop les mêmes centres d’intérêts. J’ai quand même douze ans de moins que le plus jeune. Pas évident de se faire des amis, je suis bien inscrit dans un club de sport, mais à cette époque le badminton n’est pas vraiment apprécié par les jeunes. Pour ce qui est du voisinage, à part les sempiternels bonjour-bonsoir, rien de notable. En bref, ma vie sociale est proche du néant.
    
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    Un après-midi, l’une des secrétaires me demande si je ne connaîtrais pas quelqu’un pour donner des cours à son neveu qui a de grosses ...
    ... difficultés à l’école. Je ne sais pas pourquoi mais je lui dis que cela ne me dérange pas de l’aider à la seule condition que cela se passe en soirée. Des cours de maths et de physique-chimie, niveau sixième, ne me font pas peur et puis cela me sortira un peu.
    
    Le mercredi suivant, je patiente devant un portail en fer forgé après avoir sonné, une voix masculine m’invite à entrer. La gâche électrique s’ouvre et, sur le perron de la maison, m’attend un couple et le jeune adolescent. Les présentations sont faites puis nous discutons du programme et des difficultés de Thibaut. Ses parents sont à l’écoute, il règne une ambiance saine dans la maison et j’accepte deux rendez-vous par semaine en demandant quelques francs en échange. La somme que je demande est ridicule par rapport aux prix pratiqués pour ce genre de prestation mais je n’ai pas besoin de ça pour vivre. Les lundis et mercredis soirs, j’ai rendez-vous aux alentours de dix-huit heures pour une heure de révisions et d’exercices.
    
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    Pour les premiers cours, les deux parents sont présents pour bien montrer à leur progéniture qu’ils sont très attentifs à ses progrès. Puis, au fil des semaines et des notes qui augmentent sensiblement, le père, la mère, voire les deux, sont absents lorsque j’arrive. Je suis traité comme quelqu’un de la famille, je mange chaque fois avec eux après les séances ; c’est très agréable de se sentir choyé de la sorte.
    
    Agréable est le mot qui me vient aussi pour parler de Marlène. Je ...
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