1. Mystérieuse.


    Datte: 03/08/2022, Catégories: fhh, extracon, boitenuit, fsoumise, hsoumis, hdomine, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe hsodo, confession, extraconj, lieusexe, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... de mes yeux, comme chaque fois que nous baisons. Même avec le maquillage il pourrait…
    
    — Ohhhh…
    
    Merde, je n’ai pas pu me retenir. Je soulève les paupières. Il me sourit. Il est fier de m’arracher ce soupir, moi qui suis si silencieuse, Mystérieuse, épouse qui se donne à d’autres alors qu’un mari inventé est dans le manoir.
    
    Il me bourre. Putain que c’est bon. Il est puissant. Il ne retient pas sa virilité. Une femme comme moi, dans son esprit, ne peut qu’apprécier ce qu’il me propose. C’est bon. C’est vrai. Oui mon Chéri, prends-moi… Peut-être qu’un jour, je pourrais te raconter… Oh, non, bien sûr que non. Autant toi que moi serions gênés de nos aveux…
    
    Luc est à côté de nous. Il nous regarde. Il bande à nouveau ou n’a pas débandé. Il y a des hommes comme cela, qui peuvent enchaîner. Étrangement, il encourage son complice de la main, une main qu’il a posée sur la fesse de Paul. Les deux hommes se regardent. Ils se sourient. De vrais complices.
    
    Luc passe derrière mon mari. Je vois par le miroir qu’il lui caresse les fesses et que, d’une main, il enveloppe les bourses.
    
    Et puis, à nouveau l’inconcevable.
    
    Paul qui se penche un peu plus vers moi.
    
    Luc qui avance pour se placer contre mon mari.
    
    Une main sombre qui dirige le mandrin à l’horizontale. Un mandrin qui, manifestement, cherche… Cherche et trouve.
    
    Le visage de Paul est juste en face de moi, mais ne me cache pas totalement le plafond et le grand miroir. Si ce n’était si bizarre, je pourrais dire ...
    ... que c’est comme la stéréo.
    
    Le miroir me montre la lente disparition du mandrin noir entre des fesses, dont la blancheur ne fait que souligner l’incongruité de la situation.
    
    Le visage de Paul reflète ce qui se passe en lui, au plus profond de son être, de son intimité, de son cul. Il a la bouche ouverte, les yeux perdus, le front plissé, les joues creuses.
    
    Mais je dois ajouter à ces visions une sensation intime. Le dard de Paul semble enfler, me remplir encore plus comme si la longue tige de Luc avançait si loin qu’elle fasse effet d’un coin dilatant le mandrin de mon mari.
    
    Mais ce n’est plus le temps de l’étude détaillée. Luc commence son labeur et, dès le début, il s’active avec force. Il enfile mon mari dans son plus profond, s’agrippe à ses hanches comme on s’accroche à une femelle, accompagne parfois ses reculs et ses avancées par une claque sur une fesse, claque qui résonne étrangement dans la chambre. Paul ne proteste pas de ce traitement. Ce n’est pas le « Paul » que je connais ! Personne n’aurait osé lever la main sur lui sans risquer un retour cinglant. Non, c’est un autre.
    
    Oui, un autre.
    
    Un autre qui s’est laissé souiller la bouche en acceptant le foutre de son complice.
    
    Un autre qui se fait mettre sans protester.
    
    Un autre qui ne proteste pas plus, alors que les claques assénées avec vigueur doivent rosir sa peau et sont pour le moins un signe que j’ai du mal à comprendre. Un signe d’une complicité particulière entre les deux hommes.
    
    Luc ...
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