1. Mystérieuse.


    Datte: 03/08/2022, Catégories: fhh, extracon, boitenuit, fsoumise, hsoumis, hdomine, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe hsodo, confession, extraconj, lieusexe, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... cette femme, « Mystérieuse » pour ces deux hommes, une quasi étrangère. Déjà, j’avais remarqué qu’un simple masque me donnait une assurance que je n’avais pas vraiment. Un simple voile suffisait à me désinhiber. Je n’étais plus Anne, la mère, l’épouse mais une autre. Mon corps demandait sa part, comme si pendant toutes ses années il n’avait pas été vraiment satisfait. Pourtant, il m’en avait donné tous les signes.
    
    Le miroir me renvoie aussi l’image de Luc. Luc qui s’est levé et qui est en train de recouvrir sa longue tige d’une capote transparente. De mes jambes pendantes, il forme un V, puis les fait reposer sur ses épaules. Mes hauts talons font une touche de couleur sur cette peau sombre. Mon bassin est soulevé. Il guide sa verge qui cherchait la chaleur de son ventre pour en explorer une autre. Une… Ohhhh… Il glisse en moi comme dans une grotte humide. Ma jouissance est le meilleur des lubrifiants. Il avance, avance, m’ouvre, me dilate. Le miroir me laisse voir son mandrin qui disparaît lentement. C’est excitant. Enfin, alors que je pense que mon vagin va refuser une si longue tige, son pubis touche mes cuisses.
    
    Alors commence une longue danse… gestes répétitifs… mouvements de va-et-vient si basiques qu’ils pourraient paraître bien trop simples pour apporter du plaisir. Mais c’est sans compter sur la puissance, la douceur, la lenteur, la vitesse, qui apporte à chaque fois une touche d’incertitude. Sans compter aussi sur la femelle qui, par ses déplacements, ...
    ... cherche à mieux se faire prendre, a mieux sentir le mandrin frotter ses parois, qui serre ses muscles pour mieux l’enserrer dans son fourreau gluant et chaud.
    
    Il me baise. Je le sens et j’en vois l’action dans ce miroir. Mais je vois aussi Paul dont le mandrin est près de mon visage et qui par sa main sur ma tête attire mon attention sur lui. Son gland touche mes lèvres. Il se pousse un peu pour que je le gobe.
    
    Alors, je suis comme emportée. On me baise. Je suce. On me caresse. Un doigt joue avec mon petit bouton accompagnant chaque mouvement.
    
    C’est bon. J’ai envie de le dire, mais, heureusement, la bite de mon mari me fait un bâillon qui n’est pas loin de m’étouffer.
    
    À nouveau le plaisir qui monte. Il vient plus doucement que le premier. J’en décèle les prémices. J’en accompagne sa montée en cherchant à me faire pénétrer encore plus.
    
    Luc le comprend. Il se déchaîne. Le claquement de nos peaux remplit la chambre, accompagné par sa respiration de bûcheron. Je viens. Cela monte. Cela me submerge. Un tout petit reste de conscience me fait garder le gland et libérer sur lui tout ce qu’une gorge prise peu laisser passer de grondement.
    
    Je jouis. Luc m’accompagne. Ses mouvements sont plus lents, amples mais délicats. Son sexe produit des bruits humides, presque dérangeants, annonçant aux oreilles de tous que la femelle a libéré son jus. C’est bon.
    
    Luc me libère. Paul aussi. Je m’attends à ce que mon mari prenne la place de son complice ou me demande de bouger. Mais ...
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