1. Merci Victoire


    Datte: 01/08/2022, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, confession, occasion, Auteur: Le mec-plus-ultra, Source: Revebebe

    ... stressée par son examen ! Ah, les mères, c’est terrible quand même ! Le pire, c’est que je n’ai même pas droit au câlin de ma maman pour m’aider à passer ce moment.
    
    Surpris par ce propos un peu étrange et décalé pour son âge, je pivote mon fauteuil pour la regarder et je vois ses joues qui s’empourprent carrément. Petit silence gênant. Et là, je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui réponds machinalement sans même réfléchir à ce que je dis :
    
    — Ah, mais ce n’est pas bien ça, il faut tout de suite y remédier.
    
    Et, joignant le geste à la parole, je lui caresse la joue avec le dos de ma main.
    
    S’en suit un long silence… Nous nous regardons… Elle sourit et n’ose rien dire. Remonte alors en moi le souvenir de ces moments taquins passés et cela me trouble. Je sens qu’elle attend que ce soit moi qui décide de la suite à donner à cette situation, dont l’ambiguïté, sans doute fortuite au départ, augmente à chaque seconde.
    
    Nous sommes assis quasiment face à face. Mon regard quitte ses yeux et son visage cramoisi. Je baisse les yeux sur ses jambes serrées dans sa jupe mi-cuisse, puis je mate malgré moi son décolleté qui me semble plus échancré et rempli qu’autrefois, et je me sens soudain totalement aspiré par ces attributs féminins quasi offerts, à portée de mains. Je désire soudain ce corps, ces formes rebondies, ces rondeurs, ces cuisses potelées, cette poitrine trop grosse qui donne l’impression d’avoir besoin de sortir de sa camisole. J’ai la folle certitude tout à coup ...
    ... que tout cela ne demande qu’à être caressé, pétri, sucé, malaxé, pris.
    
    Un court instant, mon esprit se ressaisit et m’invite à ne pas commettre l’irréparable. Ma main gauche, indifférente à cette idée, continue pourtant ses caresses sur la joue de Victoria… Il faut que je dise quelque chose. Ma main gauche se pose sur sa jambe, tandis que je me penche pour lui dire à l’oreille :
    
    — J’aimerais bien t’offrir plus, mais j’ai peur que mes câlins n’aient rien de maternel.
    
    Me redressant, nos joues se frôlent. Retrouvant une position droite, je vais pour retirer ma main qui est posée sur sa cuisse, mais elle la saisit et la repose aussitôt au même endroit. Elle me regarde, rouge écarlate, et d’une voix tremblante me souffle :
    
    — Alors, ça ne sera que mieux !
    
    À cet instant, j’ai l’impression que tout le désir refoulé toutes ces années passées ensemble au bureau se trouve soudain libéré pour elle comme pour moi. Ma main sur sa cuisse se fait aussitôt entreprenante, remontant d’abord sur le côté de sa cuisse jusque sous sa jupe, puis passant rapidement entre les deux cuisses cherchant un passage… Mon autre main descend son cou, puis vient se poser sur son sein gauche pour le saisir à pleine main et le malaxer délicatement, mais goulûment. Très vite, je passe d’un sein à l’autre, puis ma main plonge dans le décolleté faisant sauter facilement un, puis deux boutons sous la pression de mon geste empressé.
    
    Victoire me regarde puis ferme les yeux se laissant ainsi désirer et ...
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