1. Merci Victoire


    Datte: 01/08/2022, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, confession, occasion, Auteur: Le mec-plus-ultra, Source: Revebebe

    ... cinquantaine, pas très grande, toujours coiffée d’un carré assez court, de corpulence bien en chair, mais quand même bien proportionnée, s’habillant dans un style se voulant en gros BCBG. L’image spontanée qui me venait quand il nous arrivait d’évoquer son souvenir, c’était Victoire assise à son bureau, engoncée dans un chemisier blanc épousant d’un peu trop prêt ses formes et laissant deviner un soutien-gorge type « Cœur croisé » de Playtex, sa jupe droite écossaise et ses talons bleu marine. Quant à la veste, c’était souvent un peu excentrique. Son maquillage était du même acabit : trop prononcé pour être chic et pas assez pour être vulgaire.
    
    Je m’étais toujours bien entendu avec elle, même si nous ne bossions pas souvent ensemble. Nous discutions parfois à la pause-café. Elle s’efforçait d’être toujours dynamique et enjouée, ce qui contribuait à mettre une bonne ambiance au bureau. Par jeu, je la taquinais parfois parce qu’elle piquait facilement des fards et cela m’amusait. Même si je sentais qu’elle se prêtait volontiers à ces jeux, je n’en abusais pas, car je savais qu’elle avait rencontré pas mal de difficultés dans sa vie et je ne voulais pas paraître irrespectueux. Enfin, surtout, je ne voulais pas qu’elle se fasse des idées ou des films, ni passer auprès d’elle pour un dragueur. Elle connaissait ma femme pour l’avoir croisée à différents pots au bureau. Nous savions en revanche peu de choses de sa vie privée. Elle nous parlait parfois de ses enfants, mais très ...
    ... rarement de son mari. Ce n’était pas plus mal, car c’était rarement à son avantage. Je me demandais parfois quelle personne et surtout quel genre de femme se cachait derrière cette énigmatique collègue ? Je m’étais résigné, lors de son départ du bureau, à n’avoir jamais de réponse à cette question et cela n’avait aucune sorte d’importance.
    
    Pendant qu’elle enlève sa veste, je me rassieds à mon bureau, devant mon ordi, et attrape une chaise que je fais rouler à côté de moi pour qu’elle puisse s’asseoir afin de papoter. Même si je suis content de la voir, je m’attends à une discussion un peu superficielle, et espère donc pouvoir continuer mon travail en même temps. Je n’ai clairement pas envie de faire des heures sup un jour de plus. Elle engage spontanément la conversation.
    
    — T’es tout seul ? Où sont les autres ?
    — Sur le terrain. Je ne connais pas bien leur programme, mais je ne suis pas sûr qu’ils repassent au bureau. Tu risques de ne pas voir grand monde, c’est dommage. T’aurais dû prévenir. D’ailleurs, que fais-tu dans le coin ?
    — J’ai accompagné ma fille pour son examen cet après-midi. Je comptais en profiter pour aller dire un bonjour à ma mère, mais j’ai trouvé porte close. Alors, je me suis dit que c’était l’occasion de venir vous saluer.
    — Ah, OK. Ben, tu as bien fait. Ça fait toujours plaisir. Au fait, tu veux un café ? Il est toujours pas terrible, mais bon…
    — Ah non, merci ! Je suis déjà assez énervée et excitée comme cela ! Je t’avoue que je suis un peu ...
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