1. Série "textes en commun" Olga et le docteur, chapitre deux : hôtel et téléphone mobile


    Datte: 30/07/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... impatient mais, contrairement à ce qui s’était passé au cabinet, Olga voulait prendre tout son temps, en profiter pleinement.
    
    · Doucement, Docteur, ne soyez pas impatient, prenons le temps avant de parvenir à l’extase. Viens m’embrasser et me caresser, tes mains fines sont douces, elles sont faites pour caresser le corps des femmes.
    
    Joseph obéit au désir de la femme. Maîtrisant ses pulsions, il couvrit, pendant de longues minutes, le corps d’Olga de caresses et de baisers. Devinant ses points sensibles, il insista tout particulièrement sur les seins, titillant de la langue les tétons, les aspirants.
    
    Olga perdait le contrôle, le plaisir montait en elle.
    
    · Oh c’est merveilleux ce que tu me fais ! Continue, n’arrête surtout pas.
    
    Joseph, avec ses baisers, descendait le long du corps de la femme. Quand sa bouche fut à la hauteur de la chatte humide et ouverte, où le clito dardait d’excitation, Joseph entreprit de fouiller de ses doigts et de sa langue le sexe de sa maîtresse.
    
    · Oh Mon Dieu, vas-y, lèche-moi, bouffe-moi la chatte ! Ta langue est diabolique !
    
    Joseph mit tout son désir dans ce cunnilingus et découvrit alors qu’Olga était multi-orgasmique, enchaînant les orgasmes, poussant de petits cris plaintifs qui exprimaient sa jouissance.
    
    Quand, fier de lui, il s’interrompit pour qu’elle puisse reprendre ses esprits, son visage était barbouillé par la cyprine de la femme. Olga lui sourit et l’embrassa pour exprimer sa reconnaissance
    
    Ce fut au tour ...
    ... d’Olga de gratifier son amant d’une fellation dont elle avait le secret. Sans savoir qu’il expliquait au mari de sa maîtresse ce que celle-ci était en train de lui faire, Joseph l’encourageait avec des paroles qu’il ne se pensait pas capable de prononcer :
    
    · Oh salope, jamais on ne m’a taillé une pipe comme ça ! Je vais te faire bouffer mes couilles, petite putain !
    
    Olga, la bouche pleine, ne disait rien. Son amant lui tenait la tête et s’enfonçait dans sa gorge. Les larmes lui coulaient et elle devait lutter contre les nausées, tellement la verge de ce mâle allait loin dans sa bouche. Mais elle ne lâchait pas prise, sachant ralentir le rythme quand elle sentait qu’il était sur le point de jouir. Car si elle avait bien l’intention de le boire, elle veillait, pour le moment, à préserver ses forces pour le coït qu’ils voulaient l’un et l’autre.
    
    Sans qu’ils aient besoin de se parler, au stade de leur désir, ils savaient ce qu’il leur fallait.
    
    Olga s’installa sur Joseph et vint s’empaler sur la verge de son amant. Elle aimait cette position, qui lui permet de contrôler le coït, de retarder l’instant inéluctable de leur jouissance. Elle permettait aussi aux amants de s’embrasser avec fougue, Joseph empoignant à pleines mains les seins de son amante.
    
    Pour Philippe, qui imaginait parfaitement les choses, Olga commentait ses sensations et complimentait le mâle qui la faisait grimper aux rideaux.
    
    Le docteur entendait bien reprendre le contrôle :
    
    · Mets-toi à quatre ...
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