Série "textes en commun" Olga et le docteur, chapitre deux : hôtel et téléphone mobile
Datte: 30/07/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... près de 20 ans de mariage. Quelle explication allait-il donner à Karine ? Puis il se dit qu’il n’avait pas à se justifier envers son épouse, compte tenu de sa propre relation adultère.
· Tu as dit au réceptionniste « une chambre pour la nuit ». Quelle explication vas-tu donner à ton mari ?
· Ne t’inquiète pas pour ça. Il sait que je suis ici. Je ne lui cache rien et il est d’accord.
· Oh ! Il est bien permissif !
· Il est candauliste !
Joseph Martin ignorait l’existence de cette pratique. Devant son air étonné, Olga expliqua :
· Ca veut dire qu’il aime me savoir et surtout me voir avec un autre homme.
· Je trouve ça bizarre, mais si c’est ce qu’il aime.
· C’est ainsi que nous nous aimons.
Joseph apprécia qu’Olga ne l’interroge pas au sujet de son épouse. Malgré ce qu’il avait découvert le matin, il aurait été embarrassé.
· Nous ne sommes pas là pour philosopher. Je veux une nuit d’amour avec toi. Viens !
Joseph s’approcha de son amante et la prit dans ses bras. Il serra Olga contre lui, pour qu’elle sente bien le désir exacerbé qu’il avait d’elle. Puis il prit possession de ses lèvres. Ils étaient insatiables de longs baisers fougueux, ne s’interrompant que quand ils perdaient haleine. Olga mordillait les lèvres de son amant et leurs langues prenaient possession l’une de l’autre. Les mains de Joseph caressaient le dos de la femme, puis se posaient sur les fesses. Le cul d’Olga le fascinait.
Mari fidèle, Joseph n’imaginait pas qu’on puisse ...
... embrasser avec autant de force, de hargne presque.
· Oh ma chérie, tu me rends fou de désir.
Il faillit lui dire « je t’aime ». Elle le comprit, lui déposa un nouveau baiser tendre sur les lèvres, puis son doigt :
· Chut, ne dis rien. Ce soir, je suis à toi. Cette nuit, je suis ta femelle, tu es mon mâle. Nous allons nous aimer, Docteur.
Ils eurent soudain la même envie, celui de découvrir le corps de l’autre. Ce fut Joseph qui prit l’initiative. Il fit tomber les bretelles du débardeur puis fit passer le vêtement par-dessus la tête d’Olga. Il admira, fasciné, ses petits seins fermes et devina qu’ils devaient être particulièrement sensibles, les tétons durcis traduisant l’excitation de la femme. Sans laisser de répit à Olga, Joseph ouvrit les boutons de la jupe crayon, qui tomba au sol. Il fit ensuite descendre le mini-string, dont l’humidité trahissait lui aussi les envies de la jolie quadragénaire. Une fois qu’il fut au sol, il le ramassa et le mit dans la poche de son pantalon. Il s’agissait pour lui d’une prise de guerre en quelque sorte, un symbole de ce qu’il osait faire ce soir.
A son tour, Olga entreprit de déshabiller son amant, le débarrassant aussi vite qu’elle le pouvait de sa chemise, de son pantalon et de son pantalon.
A l’attention de Philippe, Olga commenta la formidable érection de Joseph :
· Vous êtes particulièrement équipé, Docteur
· C’est toi qui me fais cet effet. J’ai envie de toi.
Joseph poussa Olga sur le lit. Le toubib était ...