1. Série "textes en commun" Olga et le docteur, chapitre deux : hôtel et téléphone mobile


    Datte: 30/07/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... combien tu aimes ça, dit-elle en le caressant à travers le pantalon
    
    · Tu me connais et tu sais comment te faire pardonner tes écarts, ma cochonne.
    
    · Je sais combien tu aimes quand je me fais baiser devant toi, mon vicieux, dit Olga, qui avait sorti la queue de son mari et après l’avoir branlé, la prit en bouche comme elle aimait tant le faire.
    
    · Hum, quand je suis dans ta bouche, je suis prêt à tout accepter de ta part. Allez, tu as mon accord, organise ça, je veux voir ce Joseph Martin t’honorer devant moi.
    
    Olga poussait des grognements de satisfaction, offrant à son chéri une de ses fellations qu’il aimait tant. Oh oui, elle allait satisfaire une fois de plus son mari candauliste et était bien décidée à remettre ça avec le Docteur Martin.
    
    ****
    
    Après ce coït inoubliable avec la belle inconnue dans son cabinet, le docteur Joseph Martin passa quelques journées tourmentées. Même si les relations avec son épouse Karine n'étaient guère épanouissantes depuis quelque temps (alors qu'elles l'avaient été à leurs débuts de couple), il culpabilisait pour son infidélité doublée d'une sévère entorse à la déontologie professionnelle. Mais un événement inattendu changea sa perspective. Un matin, alors qu'ils se préparaient l'un et l'autre pour aller au travail, leurs enfants étant déjà partis au collège ou au lycée, le portable de Karine sonna sur la table de la cuisine pendant qu'elle prenait sa douche. Par réflexe, Joseph voulut répondre et entendit une voix d'homme ...
    ... prononcer :
    
    · Allo Karine ?
    
    · Non, c'est son mari, qui est à l'appareil ?
    
    Et l'homme au bout du fil raccrocha.
    
    Joseph en fut passablement interloqué. Infirmière libérale, Karine travaillait avec une collègue femme. Pas avec un homme. Il était difficile d'imaginer un de ses patients l'appeler par son prénom, et surtout ne pas laisser le moindre message. Joseph fit part de cet appel à son épouse qui, à sa grande surprise, marqua une réelle confusion, arguant d'abord d'une erreur, puis d'un collègue dont elle ne put dire le nom et finalement abrégea par un "peu importe" qui ne satisfit guère l'époux. Lequel ne retint que le trouble de son épouse. Le téléphone portable, malédiction des couples adultères, avait-il frappé ? Ce fut en tout cas la thèse privilégiée par le mari. Il comprenait mieux maintenant pourquoi Karine se montrait si peu allante au lit alors qu'elle s'était montrée passionnée par le sexe dans le passé. Elle avait donc un amant, il en était sûr. Comme beaucoup d'infirmières libérales, il le savait d'expérience même s'il n'en avait jamais profité, en dépit de sollicitations multiples.
    
    Du coup, il se sentit plus libre vis-à-vis de la belle inconnue, qui ne l'était pas de sa queue. Mais elle ne lui téléphonait pas pour un nouveau rendez-vous. Alors, faisant acte d'audace, il saisit ses coordonnées et l'appela, prétextant une prise de nouvelles en cours de traitement.
    
    La réponse enjouée d'Olga T. le rassura. Et le ravit. Oui, elle allait bien. Oui, son ...
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