1. 1 - L'oeil du greffon 2 - Transport ferroviaire


    Datte: 30/07/2022, Catégories: fhh, ffh, fbi, jardin, train, soubrette, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, init, Auteur: NicolasB, Source: Revebebe

    ... de la jeune femme. Il sentait le cuir tiède et le vieux papier.
    
    Elle ne s’est pas assise ni n’est retournée s’asseoir. Elle s’est de nouveau tournée vers la fenêtre. La buée provoquée par son souffle court ne lui permettait pas d’observer les bocages, desquels elle se désintéressait de toute façon. Elle était absorbée par les moustaches qui parcouraient sou cou, les mains lourdes posées sur ses hanches, et les effluves chargés de cuir et de papier qui lui descendaient sur la gorge.
    
    Ses caresses se faisaient plus insistantes, et intrusives. À l’occasion d’un arrêt en gare, alors que Louise croisait le regard d’un jeune homme sur le quai qui s’était arrêté un instant sur l’éclat de sa bouche que le désir avait humidifiée, elle devait bien reconnaître qu’elle se délectait de la situation, et son visage sur lequel se lisaient la lascivité et la compromission ne s’est pas détourné.
    
    Le train reparti, il l’avait assise sur ses genoux. Ses jupons flottants permettaient d’entretenir la confusion quant à l’activité des deux passagers. Quand un contrôleur est venu s’assurer du bien-être des voyageurs de leur voiture, elle avait des difficultés à garder le silence.
    
    Alors que la nuit tombait sur le convoi qui filait, il pénétrait doucement son sexe trempé. Elle en ressentait un grand soulagement, et n’a pas pu réprimer un soupir sonore. Ils restaient tous deux immobiles en laissant le ballottement ferroviaire et le hasard de la disposition des traverses accompagner leur ...
    ... plaisir comme il berçait les autres passagers.
    
    Parmi eux, il en était un qui avait le sommeil léger. Louise a étranglé un râle quand elle s’est aperçue que le grand gaillard les observait. Elle s’est d’abord tournée vers la fenêtre, préférant adresser à la nuit le spectacle de sa dissolution. Puis le plaisir a emporté ses réserves, et bientôt elle soutenait son regard. À la faveur d’une éclaircie qui a laissé échapper un rayon de lune, il a semblé au spectateur muet voir le bout de sa langue passer d’un bout à l’autre de sa bouche.
    
    Les yeux fixés sur ceux de la jeune femme, il portait dans sa main calleuse un paquet imposant qui tendait la toile de ses pantalons, et qui lui signifiait en son langage silencieux qu’il était pris d’un désir impérieux de disposer d’un de ses orifices. Il n’avait à cet égard aucune exigence particulière.
    
    Tout à fait remise à sa lubricité, elle s’emparait du membre de l’homme qui s’était approché pour le prendre doucement dans sa bouche, non sans gourmandise, ce pendant que le moustachu la prenait avec une vigueur croissante. À la faveur du passage du convoi dans un tunnel, elle a joui en silence, non par pudeur, mais parce qu’elle avait la bouche pleine, ce pendant qu’elle sentait le sperme se répandre dans son ventre et des ongles se planter en ses flancs.
    
    Les autres passagers s’ébrouaient tandis que deux hommes reboutonnaient leurs braguettes, l’un en examinant la pointe de ses souliers, l’autre en époussetant un pan de son veston, tous ...