1. M anif pour tous


    Datte: 21/08/2018, Catégories: Anal Inceste / Tabou Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... avait du vrai dans le propos de ceux qui m'avaient toujours moqué.
    
    Aussi ne fis-je point de manière lorsque Philippe me proposa de me doucher et de venir le rejoindre dans son lit. Son café noir et diabolique m'avait entre temps remis l'esprit en place. Avec résolution et pour punir le mari je me jetais dans cette nouvelle carrière de débauche. Philippe ne fut pas peu surpris de ma façon furieuse de me jeter sur sa bite. En guide bienveillant, il m'expliquât que je devais au contraire me refréner et câliner plutôt l'objet et le prendre doucement dans ma bouche. La fellation était un art requérant toute une technique et philosophie. Il s'engageait à tout m’apprendre.
    
    L'aube me surprit dans ses bras. Je lui dis que l'ambiance de la manif m'avait en fait survolté ainsi que l'atmosphère particulière du bar à vins. Toutes ses nouvelles et inconnues sensations m'avaient émoustillé. J'avais envie bientôt de recommencer fut-ce à l'insu de mon mari. Il comprit que sur le sexe, je n'étais pas en reste. Sur la fin de mes paroles, il enfouit ma tête entre ses cuisses. Il voulait s'assurer que j'avais appris la leçon et le sucerais telle une divine. En effet je fus moi-même surprise de mon zèle et de ma dextérité. On eût cru que j’avais fait cela toute la vie : sucer des bites.
    
    La sienne était longue et épaisse. J'en étais devenue à présent toute folle. Au milieu de la nuit et de nos ébats, je m'étais écriée lorsqu''il voulut un moment la nicher au fond de mes fesses dans ...
    ... l'exclusif et irrémédiable petit trou. J’avais toujours trouvé inconcevable et sale la sodomie. Puis j'appréhendais plus sordidement la douleur d'être violée à cet endroit. Philippe équipé d'une crème et avec le jeu des doigts sut en un instant préparer le terrain et ses mots diversement cochons achevèrent de m'exciter et de me résigner à cette reddition nécessaire à une si grande découverte.
    
    Dès lors au matin après qu'il m'eût soufflé tendrement à l'oreille : « J'ai envie de t'enculer », je me tournais sur le côté lui présentant avec le plus de naturel mon cul. A force de salive et de crème, il humectât mon anus le rendant tout disposé à l’assaut et à être enfoncé. Cela fut plus sauvage que la première fois. Je lui sus gré qu'il me montrât à présent moins d'égard. Ses insultes m’allaient droit au cœur. Je goûtais particulièrement que le terme de traînée revint souvent. Il éjaculât enfin s'écroulant sur moi. Je percevais le sperme s'écoulant de l'anus et se répandant sur mes fesses.
    
    J'étais devenue en si peu de temps une chienne accomplie. J'étais résolue à devenir son mante, voire davantage sa pute. Il ne se fit pas prier. Il me prenait à toute occasion. Au bureau à l'insu des autres il m’entraînait aux toilettes afin que je le suças et qu'il put éjaculer entre mes fesses. Il m'offrit à d'autres hommes. Je devins familière des partouzes. Peu après je sus le tromper avec d'autres sans vergogne. J'étais devenu prédatrice et chasseresse. Il convint que l'élève avait dépassé le ...