1. M anif pour tous


    Datte: 21/08/2018, Catégories: Anal Inceste / Tabou Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... reprendrions la route après que je me fus rafraîchie.
    
    Pour lui ce n'était qu'un intermède d'une heure. Je pourrais me prendre une douche et grignoter si je voulais. J'étais en un état second. Je ne mesurais le danger. L'idée d'une douche me parut bonne. J'aspirais à me requinquer et à retrouver un peu de mes esprits. Chancelante m'appuyant sur son bras je parvins à monter les marches de la véranda. Je m'affalais misérable sur le divan. Il revint avec un café noir et chaud. Il avait des remèdes de cheval pour les cuites. Je riais à la façon d’une idiote à tous ses calembours de régiment. Les bourgeoises des fois se rabaissent aux manières du soudard.
    
    Il en vint incidemment à déblatérer sur mon mari. Il ne me méritait pas. Il était autant vilain et bossu que moi j'étais gracieuse et élancée. Etais-je si vénale pour avoir été fascinée par son argent et le rang de sa famille ? Nous n'avions pas d'enfants. Bref j'avais raté ma vie avec ce débris et ce médiocre. Et pour finir il le soupçonnait fort de m'avoir privé des voluptés du lit et de la chair. Bref il était manifeste que le sexe m'effrayait. Que j'en concevais une idée sale et fausse. Disant cela il me collait et me caressait la cuisse. Le propos était leste à présent : « J'ai toujours bandé pour toi. »
    
    Me débattant mollement je ne parvenais à me démêler de lui car il m’avait enlacé et avait maintes fois essayé de m'embrasser sur la bouche. En certaines situations on est une faible femme d'autant que l'alcool vous ...
    ... enlève vos dernières forces. Une langueur à mesure m'envahissait. J’en étais réduit à m’abandonner. Un petit lutin en moi me chantonnait, me conseillait d'offrir le moins de résistance à ce gueux car il pouvait me faire du mal. Ainsi devins-je inerte tel un mannequin entre ses mains. Je me dédoublais en sorte. Je le regardais disposer de moi tel un objet sexuel et vulgaire.
    
    En un état semi-comateux, je perçus bien qu'il me triturait la chatte au fond de ma culotte. J'en conçus un ressenti agréable. Je lui abandonnais enfin ma bouche. Tout mon corps fut visité. On eût dit un voleur ouvrant tour à tour les chambres d'une vaste demeure. Cette demeure avait eu trop longtemps les volets fermés. Il tardait que le grand air y puisse rentrer. Ainsi écartais-je les cuisses machinalement. Il se vautra bientôt entre. Me pénétrant, me besognant. Il me prenait là telle une catin. Je savais que je devais concevoir cela comme humiliant. Tout cela me réjouissait en fait.
    
    Je ne pourrais pas dire combien d'heures nous nous vautrâmes sur le divan. En un grognement sourd je sus qu'il avait finalement éjaculé. Je trouvais remarquable son endurance et sa propension à ne jouir tout de suite. Je le découvrais en amant fortiche. Rien de comparable avec l'insignifiant mari. Celui-ci m'avait parfaitement dégoûté de la chose. Je mesurais tout ce que j'avais perdu en temps et jouissance avec lui. Ma vie d'avant parut d'un coup sinistre. J'étais en colère contre moi-même. J'avais été une dupe. Il y ...