1. M anif pour tous


    Datte: 21/08/2018, Catégories: Anal Inceste / Tabou Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... une sotte impulsion.
    
    L'ami Philippe n'en fut pas moins un sigisbée efficace. Il fit en sorte que sa présence me rassurât et que le défilé se passât bien tel une partie de promenade. Il ne prit pas mal notamment de caler son pas sur le mien car les escarpins m’interdisaient de pouvoir suivre les autres. Du reste la vieille Mme Ganger nous accompagnait. Nous formions dans cette marée comme un étrange trio. Il était convenu de nous retrouver tous sur la fin dans un bar à vins. Nous y échangerions nos impressions. Je n'étais pas familier de ce genre de tripot, lieu et fréquentation que m'interdisait pour sûre le mari.
    
    L'ami Philippe savait cela ce qui augmentait assurément son plaisir d'humilier de loin ce mari. Par crainte et téméraire sagesse, je crus devoir suivre les prescriptions de mon mentor sur le lieu. Je crus qu'il n'y avait rien hors le vin et la charcuterie. Je sus par la suite que j'y aurais pu obtenir une orangeade et des gâteaux ce qui n'eût pas manqué de susciter la commisération ironique des autres. Bref je sacrifiais à un premier puis à un second verre de vin. La nourriture fut-elle solide ne parvint pas à contrebalancer les effets de ce funeste vin. Je fus bientôt dans mon coin somnolente et ivre.
    
    En cette situation, il parut difficile que je pus reprendre le métro. Bref le Philippe qui avait garé peu loin son auto ne proposa pas moins de ramener la vieille Ganger qui était sur le chemin et moi-même. Même s'il lui fallait faire un détour. Une ...
    ... collègue m'assurait que je faisais pitié dans mon état et aucune personne présente ne contestât alors que ce fut une bonne idée de me rapatrier en auto. On m'avait quasi balancé sur la banquette arrière tandis que la vieille Ganger au-devant déblatérait avec Philippe, conversation monotone qui achevât de m'assoupir. Je ne la vis point partir.
    
    Ou plutôt conservais-je seul dans ma mémoire une bribe de parole : « La pauvre, elle ne tient pas le vin. Ramenez-là vite à son cher mari. Pourvu qu'il ne la gronde pas trop ». L'un l'autre ne savait pas qu'à ce moment mon mari tournait pour la semaine sur la province. Je dînais seule depuis quelques soirs. Philippe n’insistât pas lorsque je refusais de venir devant auprès de lui. J'étais lasse et préférais rester à l'arrière pour m’affaler de tout mon long. Mi-sincère, il m'assura qu'il regrettait de m'avoir obligé à boire ce vin craignant l'ire du mari. Je lui révélais alors l'absence de celui-ci.
    
    Dans ce genre d'esprit pervers, cela fait toujours tilt. Il me conçut en un instant comme une proie facile. Il perçut qu'une telle occasion ne se représenterait de sitôt. Le hasard une fois de plus faisait bien les choses. Assoupie je mis du temps à réaliser qu'il prenait un autre chemin que celui de ma demeure. Je lui en fis l'observation. Il me dit qu'il y avait des travaux à un endroit et que nous suivions là une déviation. Finalement nous nous trouvâmes devant une maison que je savais chez lui. Il me proposa d'y faire halte et que nous ...
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