1. Monsieur, Marianne et moi (1)


    Datte: 26/07/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... offert. Le corps allongé se tend et seuls la tête et les talons sont encore en appui sur le divan pour les pieds et sur les cuisses du bonhomme pour le crâne. De loin, je remarque la poitrine qui se soulève au rythme des soupirs qui éclatent dans le salon.
    
    Ce Bertrand reste imperturbable, continuant ses caresses avec un sang-froid qui m’impressionne. Il est toujours aussi impeccablement vêtu que lorsque j’étais avec eux. Il baisse d’un coup le menton et descend son visage vers celui de maman. Il lui chuchote des mots que je ne peux percevoir. Enfin la main qui lui ouvre le coquillage s’éloigne en remontant vers son nombril. Elle se cabre et se tourne sans se relever. Cette fois la vue que j’ai d’elle, ce sont ses fesses, puisqu’elle vient de se retourner entièrement et son corps revient dans la même position, présentant son côté pile maintenant.
    
    La main effleure les épaules, masse un long moment le dos. J’ai mon ventre qui fait des nœuds, qui se tord dans des spasmes incontrôlables et je me mords violemment les lippes pour ne pas soupirer aussi fort qu’elle. La main est désormais sur les reins et elle palpe doucettement chacun de ses globes que la posture fait saillir. Lui a attrapé la jupe de sa main libre. Je ne saisis pas vraiment ce qui se passe. Mais je comprends vite. Il l’étale sur le derrière de Marianne et elle relève les fesses alors qu’il recouvre partiellement l’endroit de ce tissu. Quand la main se relève, je sais ce qu’il veut...
    
    La première claque ...
    ... attrape le bas du dos, et le bruit est étouffé par le chiffon. Ensuite la main s’abat en cadence sur le cul de cette femme dans laquelle je ne reconnais plus vraiment ma mère. Elle a l’air d’apprécier ce traitement de faveur, distillé avec un certain engouement de la part de ce type. Et moi depuis mon lieu d’observation, j’avoue que ça ne laisse pas indifférente. Mon sexe est trempé, ma culotte mouillée comme ça ne m’est jamais arrivée. Au bout de je ne sais pas combien de gifles sur ce fessier tendu, dans un silence plus que relatif, les mains de maman s’agitent d’un coup.
    
    Demande-t-elle grâce à son bourreau ? Alors ce que je vois est au comble de l’abject. Les deux pattes ouvrent le pantalon de ce Bertrand. Un sexe gonflé ainsi libéré émerge de la braguette. Et il disparaît dans la bouche de cette femelle, je ne sais plus comment l’appeler. Elle secoue la tête de bas en haut et lui ralentit ses mouvements. Il ne la bat plus. Le chiffon de la jupe glisse pendant que le corps de l’homme dérive légèrement sur le côté. La main fait une erreur remarquée sur ce cul provocant. Et sans qu’il se préoccupe d’une quelconque douleur, je devine son index qui se perd dans le fondement prêt à l’accueillir.
    
    C’en est trop pour mon ventre et mon sexe qui se crispent dans des spasmes sans aide de ma part, un orgasme sans pareil me surprend debout, au milieu de la salle à manger dans l’obscurité. Je repars en retenant mon souffle vers ma chambre. Je suis en feu et les images me poursuivent. ...