À joueur, joueuse et demi - Histoires de Sexe

À joueur, joueuse et demi

... pour celui qui gagnera la nuit avec moi. Pour autant qu’il assure. Donc qu’il soit meilleur que mon mec, qui en temps normal pose au moins une quinte flush sur mon tapis.
— En temps normal ? s’enquiert un des joueurs.
— Plus il a la scoumoune, moins il me touche. Je suis là pour me refaire. Sauf que moi, je joue ma chemise en premier, pas en dernier.
— Et c’est quoi pour une petite blinde ?
— Une petite pipe, comme de juste.
— Et pour la grosse blinde ?
— Une grosse pipe, doublée d’un doigt dans le cul.
— Pour le tapis ? demande le troisième joueur.
— La totale, mais protégée, évidemment.
— Et comment on sait que tu emportes le jackpot ?
— À ton avis, gros naze, les orgasmes c’est fait pourquoi ?
— Et ton looser pendant ce temps, demande un autre ?
— Il est en sevrage de jeu et de cul. En tout cas le mien de cul. Je viens avec lui pour qu’il voie sa misère. Bien profond.

Celui qui avait le bouton pige le principe du jeu et lance les enchères.

— OK, pose ta chemise ! Combien pour la petite blinde, les gars ? Et combien pour une pipe ?
— 10 pour la blinde, 50 pour la pipe, annonce le premier.
— 80 pour la pipe, propose le suivant.
— Vous êtes des miséreux, rétorque le troisième. Vous avez regardé Madame ? Je monte à 50 pour la petite blinde et 100 pour la pipe.

C’est là que les enchères semblent vouloir s’arrêter. Le pécule de départ sera modeste, mais c’est jouable. Je tente un coup de bluff.

— Personne pour une grande blinde ?
— On check ...

... d’abord !
— Bien vu, salauds !

J’enlève ma chemise, sous laquelle j’ai mis un truc assez affolant. Le gars me tend les jetons correspondant aux 100 euros. Je m’agenouille devant lui, les jetons en main. Il ne s’attendait pas au contact dur et froid sur sa bite, mais apprécie la nouveauté.

Lentement, je lèche l’engin sur toute sa longueur, mordillant la base des couilles au passage. Je le sens encore un peu tendu, mais les secousses qui traversent son membre à chaque passage montrent qu’il se méfie de moins en moins de moi.

Le goût salé et légèrement épicé de son jus clair me plaît et m’excite. Je prends le membre entier en bouche et agite ma langue. Il s’enfonce en moi, mais sans brutalité. J’apprécie.

La main tenant les jetons bien serrés sur ses couilles, l’autre main sur ses fesses, je donne le rythme que je suis prête à accepter jusqu’à la fin.

À chaque fois qu’il s’enfonce entre mes lèvres à la recherche du plaisir, je joue de la langue sous son gland et contre son méat. Cela provoque des secousses dans son bas-ventre, bien visibles des autres mecs, qui commencent sérieusement à s’échauffer.

Sans parler de mon homme, que je contrôle du coin de l’œil, et qui supporte visiblement mal la scène. C’est exactement ce que je veux.

J’en remets d’ailleurs une couche, et retirant mon soutif, sans cesser de sucer le gars pour autant. Un jeton sur chaque téton, j’excite mes bouts au rythme des pénétrations buccales.

Déjà les premières contractions augmentent ...