Que d'aventures - Histoires de Sexe

Que d'aventures

... tout, vous avez fait preuve de courage, dis-je, chaleureuse.
— Je croyais que des hommes allaient me sauter dessus à la sauvage, mais non, tout le monde est correct, glousse Lisa en serrant fort ma main.
— Suis-je à votre goût ?

Elle se jette à mon cou pour me faire le gros smack des familles.

— Pierre, mettez la carte du club dans le boîtier, là, tout sera facturé automatiquement, le temps passé ici, la boisson. Sauf moi et Edwige si vous permettez sa présence.
— La dépense n’est pas notre souci. Edwige peut rester, n’est-ce pas Lisa chérie ?
— Oui.

L’effet poitrinaire d’Edwige fait de l’effet sur le mari. L’épouse ne voit que moi, prête à satisfaire son désir. La lumière tamisée, la musique langoureuse font leurs effets. Lisa se lève, dégrafe son corsage :

— Quand faut y aller, faut y aller !

En deux temps, deux mouvements, la voilà à poil cachant maladroitement son pubis châtain. Je la prends par la main :

— Lisa, je suis collante de sueur, je sens la poussière de la salle, allons prendre une douche.
— Vouiii ! J’ai jamais pris de douche entre filles.
— Pierre, je ne suis pas collante de poussière, dit Edwige en se rapprochant.

Lisa se lâche dans l’intimité de la douche, hors de l’influence du mari. Ses mains imitent les miennes, savonneuses sur les seins. Elle ronronne :

— Trop bon, mieux que le plan.

Sa main arrive à mon plug :

— Votre machin bidule, ça tombe jamais ?

Elle tient le plug par la chaîne.

— Jamais.
— Ça fait ...

... ventouse ? Je peux vous l’enlever ?
— Prenez le plus haut, il y a un anneau plus solide et vous tirez.
— Hi hi, glousse-t-elle en s’aventurant entre mes lèvres pour tirer. J’aurai cru plus long.

Sa main revient vite sur mon pubis, suit ma fente, son doigt explore. Elle vérifie que je suis à l’identique d’elle, car elle se fait le même geste.

— C’est la première fois que je touche une fille. Et une épilée. C’est doux, incroyable, c’est du boulot, hein !
— Je confirme.

À mon tour de lui faire découvrir mon doigt à la place du sien. Du clito au petit trou, elle en frémit :

— C’est la première fois qu’une fille me touche. Continuez, c’est trop bon. Maman, regarde pas, je vais jouir avec une fille.

Elle s’agrippe à moi, tremble, souffle un grand coup :

— Merci Caro.

Elle me galoche, sa langue est vive comme jamais.

— Caro, vous êtes merveilleuse, vous m’avez mise en confiance, je suis prête. Allons au salon, ça vous dérange de faire devant mon chéri ? J’ai bien vu qu’il louche sur les seins d’Edwige. Vous savez quoi, je lui ai dit que si il voulait faire l’amour avec une fille, il pouvait. C’est normal, si je fais, il fait, autrement le couple part à vau-l’eau.

Hé bin, une fois en confiance, elle assume, la Lisa ! Au salon, elle saute au cou de Pierre :

— Mon chéri, Caro est formidable, je suis prête. Edwige, vous lui pardonnez ses mains baladeuses, hein ?

Je fais un clin d’œil à Ed qui fait oui de la tête. Et Lisa la galoche pour lui dire :

— ...