Que d'aventures - Histoires de Sexe

Que d'aventures

... Merci, mille mercis.

Et elle me bouscule sur le grand canapé-lit :

— On y va !

Une tornade ! Un vrai chien fou sur mon corps. Je lui bloque les mains :

— Si on commençait par le début…

Elle opine. Mais, allez la tenir ! Elle est déjà à m’embrasser la chatte, à me fendre de sa langue, elle veut d’urgence un 69.

— Trop bon, trop bon…

Le seul moyen de la raisonner est qu’elle ait un orgasme violent. Autoritaire en la plaquant en cunni, je lui colle de la langue dominatrice dans la fente. Gigote, gigote pas, elle l’a eu avec des « Maman… Han, Hon… Pierrot, mon chéri, Hon… Maman »

Le Pierrot chéri la mate, les yeux arrondis, tout en pelotant machinalement Edwige qui nous mate avec un petit sourire.

KO, délirante, elle happe, l’air complètement étourdie.

— T’es mal, faut un médecin, chevrote Pierre qui en oublie Edwige cette fois.
— T’es idiot ou quoi. C’était… c’était trop bien !

Ed tapote la main du mari :

— Vous savez, les femmes ne sont pas en sucre.

Lisa retrouve ses esprits :

— Mon chéri, j’étais trop impatiente. Merci Caro, de votre indulgence. Maintenant, regarde ta petite femme chérie, comme dans le film. Ed, vous êtes un amour de l’aider psychologiquement.

Comment qu’elle te l’embobine !

La petite femme chérie a adoré la suite, plus sensuelle que sportive, elle a joui, aussi bavarde, maman n’a pas tenu la main.

Quand elle a découvert les ciseaux, ce fut le Graal. Et toujours dans le bavardage :

— Hôôô, je vais ...

... mourir… Quand je vais dire ça à maman… Ah bin, non, j’peux pas… Caro, regarde mon cochon de Pierrot.

Le cochon fait un cunni à Ed.

— Tu sais qu’il y fait bien, me sourit-elle.

Du cunni, le cochon de Pierrot savoure la fellation.

— Il est trop beau, mon chéri, s’extasie Lisa qui, des ciseaux passe en 69 pour revenir en ciseaux.

Je suis son sex-toy ! Quand tout se calme, Lisa me fait un grand smack sonore :

— Hi hi, Caro, t’es trop bonne à bouffer…
— Lisa, à déguster !
— Je te dégusterais bien encore et encore, soupire-t-elle.

Lisa la tornade blonde ne peut s’empêcher, l’enthousiasme n’a pas diminué ni la parole ni l’ardeur :

— Edwige, merci pour la pipe, il aime ça, mon coquin, hein ! Venez faire l’amour à côté de nous. Ce sera un bel anniversaire de mariage. Mon chéri, je t’aime.

Ils se sont rapprochés.

Edwige en Andromaque sur Pierre, moi en ciseaux avec Lisa, les jeunes mariés ont joui en se tenant la main.

Cette fois, elle se tait. Hé bin, non, Lisa ou l’art d’écourter les adieux :

— Caro, tu es le rêve pour moi, Ed, merci d’avoir pris soin de mon mari. Mon chéri, nous allons à la boutique. Il y a quelques affaires qui te plairont que je me les mette.

Nous l’entendons dire dans le couloir :

— Chéri, nous reviendrons, Caro trop sympa. Et toi, t’abuseras pas d’Edwige. Ses nichons t’ont plu. T’es averti. T’aimes les miens, hein !

Nous nous regardons, éclatons de rire et nous nous affalons dans les fauteuils, nous restons là à nous ...