1. The artist


    Datte: 21/08/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, couleurs, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo, confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... presque jusqu’à notre table, où Mélanie et son compagnon sont enchevêtrés.
    
    Nous quittons la boîte. Cette fois-ci, Boubacar est assis mes côtés. Il joue délicatement avec la pointe d’un de mes seins qu’il a impudemment sorti de ma robe pendant le trajet. Une fois arrivé, il me dit :
    
    — J’aimerais bien visiter le chambre d’une française !
    
    Nous éclatons de rire pour sa version poétique duje prendrais bien un dernier verre chez toi et, abonnant l’autre couple, montons tous les deux chez moi. Dans l’ascenseur, je me retrouve string à l’air, jupe relevée par ses caresses. Arrivée près du lit, je me retrouve entièrement nue ; il m’y culbute sans ménagement. Il n’a même pas eu le temps… de regarder la chambre. Je me délecte de son engin, si noir, si long. Il est d’une vigueur inconnue pour moi jusque-là, et, après avoir, pendant des heures, exploré toutes sortes de combinaison entre nos deux corps aimantés, nous sombrons, béats, dans un profond sommeil lorsque l’aube apparaît. J’ai découvert avec surprise que, sur la face externe de chaque cuisse et sur le torse, mon fougueux amant avait d’importantes cicatrices de quatre longues rayures à chaque endroit. Il m’a expliqué, entre deux étreintes, qu’il s’agissait d’un rite ancestral de scarification, subi lors de son passage à la puberté, censé représenter les blessures causées par le combat symbolique du jeune homme avec un lion, preuve de virilité.
    
    Vers 11 h 00, la sonnerie de mon téléphone me réveille. Mélanie est au pied ...
    ... de l’immeuble avec Didier, elle a sonné, nous n’avons rien entendu. Je lui demande d’attendre devant un café au bistrot d’à côté pendant que mon compagnon se prépare. J’ai l’impression d’avoir été rouée de coups : mon ventre, mes seins, mes reins se souviennent de virils assauts et me tancent. Ma peau et mes draps sont maculés des traces des jouissances de l’homme, et plusieurs préservatifs jonchent ma table de nuit. Mon compagnon se réveille, il ouvre un œil langoureux, tend sa main vers ma hanche et m’attire vers lui. Son long bâton est à nouveau tout dur, il a vraiment d’insatiables ressources !
    
    Mon corps n’en peut plus des ravages subis, j’essaie de m’esquiver, puis, résignée, je lui demande de rester debout sur le bord du lit, m’agenouille devant lui et le porte à ma bouche. J’enveloppe son gland de mes lèvres, caresse de la main ses bourses, parcours de la langue sa tige. Je le sens se tendre, s’arc-bouter, et sa semence jaillit une nouvelle fois, sur mes lèvres, mon cou et mes seins.
    
    Je le pousse ensuite sans ménagement vers la douche, refusant de l’y suivre car redoutant d’avoir à nouveau à subir un nouvel assaut. Il se rhabille et me quitte. Il me faudra 24 heures pour me remettre de ma nuit de débauche.
    
    Une dizaine de jours plus tard, j’apprends que Boubacar n’a pas été retenu par le PSG, et est rentré chez lui. Je trouve aussi dans ma boîte à lettres une nouvelle enveloppe identique aux précédentes. Je manque de m’évanouir en l’ouvrant : le dessin, cette ...
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