1. De Longueville


    Datte: 22/07/2022, Catégories: fh, couleurs, extracon, grossexe, voyage, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, fsodo, historique, historiqu, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... revint à la trompe qui pendait en une courbe harmonieuse. En quelques coups de poignet habiles, le prodigieux organe prit sa taille de fonctionnement ; elle s’en délecta des deux mains et de la bouche. En deux ou trois boutons, la lourde robe glissa à terre, dévoilant un corps qui conservait d’assez beaux restes, malgré des années d’utilisation intense. D’une main et sans le moindre mot, elle attira à elle l’énorme pénis et le positionna entre ses cuisses. Le regard dans le vague, le colosse noir se soumit au désir de sa maîtresse. Rêvait-il de son pays, ou d’une épouse abandonnée ? Nul ne le sait. La Longueville ne savait qu’une chose, c’est que ce membre improbable lui donnait des sensations à la hauteur de ses espérances. Elle, la traînée de gargotes, la fille à marins, était en train de jouir comme une jouvencelle durant sa nuit de noces. Elle se fit saillir par-devant et par derrière jusqu’à ce que la queue d’ébène ne fut plus capable de se redresser.
    
    L’esclave repartit au labeur, la maîtresse se plongea dans une baignoire de cuivre trouvée sur place dans cette bicoque. Ce n’était pas tant pour vider son ventre de l’énorme quantité de semence que le colosse y avait mis, elle savait depuis longtemps qu’elle ne pouvait pas avoir d’enfant ; mais plutôt pour chasser d’elle l’odeur puissante de la sueur de son amant, afin que Robert ne se doutât de rien. Ses ablutions terminées, elle se rhabilla correctement et s’alanguit sur un fauteuil à bascule sous l’auvent, ...
    ... surveillant du coin de l’œil sa main-d’œuvre, affairée à préparer la terre d’un potager. Des pulsations de son ventre dévasté lui rappelaient délicieusement la fantastique intromission du gigantesque pénis. Elle avait hâte d’être à la semaine suivante pour réitérer cette fabuleuse expérience.
    
    De son côté, Robert guidait ses chevaux sur le chemin du retour empli d’allégresse. Le coton était vraiment une belle façon de s’enrichir. Dans la poche de sa redingote, un paquet de billets en prouvait la rentabilité : près de mille cinq cents livres pour une première semaine de récolte, pour deux chariots remplis de la précieuse cargaison ! C’était inespéré. Il avait bavé d’envie en voyant les gros producteurs repartir avec des mallettes entières de billets, mais pour des dizaines de chariots. C’est sûr, il lui fallait plus de terres et surtout plus d’esclaves. Il restait encore au moins six semaines de cueillette, près de dix mille livres à récolter. On fit ripaille ce soir-là au manoir de Longueville. Même les esclaves eurent droit à un beau morceau de lard et de bœuf bouilli dans leur brouet habituel de haricots et de pois chiches, et les hommes reçurent en prime un quart de vin. Curieusement, cette journée de presque repos et cette nourriture améliorée eurent des conséquences sur la récolte, car même la jeune négresse atteignit sans aide son quota le lendemain, et les autres le dépassèrent allègrement.
    
    — Que se passe-t-il, Martin ? La balance est cassée ?
    — Pas du tout, elle ...
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