1. Julia : aveux et amitié


    Datte: 21/07/2022, Catégories: ff, vacances, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, uro, gifle, piquepince, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... pensé que… oh, je n’ose pas…
    
    Chantal s’assit à côté d’elle sur le carrelage et l’entoura gentiment de ses bras. Leurs corps chauds se rassuraient l’un l’autre en mêlant leurs odeurs de sueur et de cyprine. Un parfum de femmes en rut, pensa Chantal tandis qu’elle berçait affectueusement son amie en l’encourageant à continuer.
    
    Julia décrivait les images érotiques qu’elle caressait et le scénario lubrique qui la hantait. Malgré ce tableau surprenant et déroutant, Chantal ne relâchait pas sa douce étreinte, renouvelant tendres baisers et câlineries dès que la parole se faisait hésitante. Peu à peu, d’étranges pulsions l’envahissaient et un désir nouveau l’enflammait. Quand la confession fut achevée, elle s’entendit prononcer des mots qu’elle ne se souvenait pas avoir conçus.
    
    — Pourquoi pas ? Ce pourrait être amusant de vous punir ainsi…
    
    Elle n’eut pas le temps de les regretter. Le soulagement, l’espoir, la passion qu’elle lut dans les yeux reconnaissants l’empêchaient de se dédire. Julia l’embrassa avec fougue.
    
    — Vraiment ? Vous voulez bien ? Oh, merci Chantal !
    — J’ai eu de mauvaises pensées, reprit-elle en s’asseyant sur le tabouret. Des pensées indignes d’une femme normale, d’une mère de famille, en plus ! Tout ça vient de ma grosse chatte, une chatte de salope avec des formes obscènes. C’est là que je dois être punie.
    
    Elle avait écarté ses cuisses en grand, les fesses au bord du siège. Elle manifestait un plaisir trouble à exhiber la vulve qu’elle ...
    ... stigmatisait. Elle tiraillait ses grandes lèvres, les lâchait pour les claquer sèchement, essayait en vain d’atteindre aussi les petites, et, déçue, recommençait. Chantal, debout, l’observait, comprenant ce qu’elle attendait, en éprouvant une satisfaction perverse qui l’étonnait et la poussait à se tripoter.
    
    Julia saisit la base de son clitoris entre deux doigts. Son autre main vagabonda sur la cuisse de Chantal, glissa délicatement vers la fourche velue, y rencontra ses consœurs qui fourrageaient, et mobilisa l’une d’elles pour la conduire sur la pointe du bourgeon déjà étranglé. S’il y eut intention de retrait, un maintien assuré l’interdit.
    
    Chantal fut surprise de la douceur ferme de ce contact sous la pulpe de ses doigts. Elle en tâta légèrement l’élasticité et sa curiosité fut récompensée d’un soupir de plaisir. Elle serra un peu, entraînant aussitôt un faible râle de plaisir. Elle pressa plus fort et le gémissement s’accentua. Prise au jeu, elle pinça vraiment. La plainte monta d’un cran.
    
    — Oui ! plus fort… chuchota Julia en lui libérant le poignet, sans cesser d’exposer son clito.
    
    Chantal ramena un tapis en coussin et s’assit pour être plus à l’aise. Elle reprit le bouton coupable, entre ses ongles cette fois. Quand elle les referma durement, les yeux de Julia vacillèrent. Un vague sourire parut sur sa bouche. Chantal s’enhardit, resserra ses doigts et tordit sa proie. L’approbation muette de la victime démentit son expression de douleur sur le visage. Chantal tira ...
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