1. Julia : aveux et amitié


    Datte: 21/07/2022, Catégories: ff, vacances, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, uro, gifle, piquepince, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... eu cure de l’endroit où porter la main. Ce fut entre les cuisses écartelées par la jambe défaillante. Elle y rencontra les doigts encore fichés dans la vulve et la moiteur chaude et douce des lèvres.
    
    — Pardon ! murmura Julia, en retirant sa main quand Chantal eut retrouvé l’équilibre.
    — Merci, murmura Chantal, sans préciser la raison exacte de sa reconnaissance.
    
    Elles se regardaient, vaguement gênées, des étoiles dans les yeux, calmées, mais non rassasiées. Une impulsion leur fit joindre les mains, leurs sucs se mélangèrent. Nouveaux regards, nouveau trouble. Julia porta les doigts de Chantal à sa bouche et les baisa.
    
    — J’aime votre odeur, Chantal… et votre goût… J’aime le jus de votre chatte.
    
    Elle avait parlé comme pour elle-même, laissant Chantal interdite. Elle n’attendait pas de réponse, d’ailleurs, car elle se reprit aussitôt pour se réprimander.
    
    — Oh ! Je suis folle ! Je dis des bêtises ! Pardonnez-moi. Je mérite d’être punie pour vous avoir choquée avec ma grossièreté. Je ne suis qu’une cochonne, je le sais !
    — Mais non, mais non ! Pas du tout, l’assura Chantal. Au fond, c’est plutôt flatteur.
    — Vous êtes gentille, mais je me connais : quand je suis trop excitée, c’est mon cul qui prend le dessus… Vous voyez : je ne peux m’empêcher d’être vulgaire. Une vraie salope !
    — Ne dites pas ça. C’est le soleil, l’ambiance, l’alcool… Moi aussi, je suis encore excitée.
    — Non Chantal, vous ne comprenez pas. C’est plus que de l’excitation, c’est… c’est un ...
    ... besoin qui me domine, c’est… Non, je ne peux pas vous dire !
    
    En effet, Chantal ne comprenait pas. Julia avait des larmes dans la voix. Pourquoi était-elle si bouleversée ? Si elle avait besoin de jouir à nouveau, c’était naturel. Dans l’état où elles s’étaient mises toutes les deux, un seul orgasme n’était pas suffisant. Peut-être même deux ! Chantal le sentait bien, elle devait se l’avouer. Il n’y avait pas de honte, après tout. Elle essaya de la réconforter.
    
    — Mais si, Julia, vous pouvez tout me dire. Je suis comme vous !
    — Vous le croyez ? Moi non ! J’ai des pensées indignes, obscènes. Vous me mépriseriez.
    — Allons donc ! Je suis aussi coupable que vous, si c’est à ça que vous pensez.
    — Vous voyez ? Je savais que vous ne pourriez pas comprendre.
    — Alors, dites-moi ce qui vous pèse autant. Je vous en prie ! Confiez-vous à moi, sinon je penserai que je ne suis plus votre amie.
    
    Julia hésitait. Ses pulsions secrètes la poussaient à parler, la peur de scandaliser Chantal la paralysait. Mais s’obstiner dans le refus de parler, c’était risquer de perdre une amitié à laquelle elle tenait beaucoup plus qu’elle n’aurait cru. Cela la décida.
    
    — D’accord, Chantal, je vais vous le dire. Mais, par pitié, ne vous moquez pas, et surtout, ne me condamnez pas quand vous saurez !
    — Je vous le promets, Julia. Je vous le jure, même !
    — Merci. Voilà : j’ai besoin d’être punie. Je fantasme là-dessus depuis longtemps. Quand je suis seule… eh bien, je me débrouille… Avec vous, j’ai ...
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