Julia : aveux et amitié
Datte: 21/07/2022,
Catégories:
ff,
vacances,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
uro,
gifle,
piquepince,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... brusquement, obtenant un cri étouffé et un battement de cils ravi. Elle plissa les paupières.
— Sortez-le-moi plus que ça, dit-elle méchamment. Vous pouvez faire mieux avec cette horrible chose qui ressemble à une bite avortée !
Julia s’exécuta, retroussant le capuchon à l’extrême contre son mont de vénus pour dégager le plus possible de muqueuse à martyriser. Elle grimaça une excuse.
— Je ne peux pas plus, j’ai la vessie pleine…
— M’en fiche ! Retiens-toi, ou pisse, ma belle, rétorqua Chantal de plus en plus envoûtée.
Raffermissant sa prise sans tenir compte des gémissements, elle étira le clitoris comme si elle voulait l’allonger. En même temps, elle regardait autour d’elle. Julia, se mordant la bouche pour ne pas crier, suivit son regard et pâlit en le voyant se porter sur une pince à linge traînant sur la tablette. Chantal la consulta des yeux. Elle acquiesça.
Mieux, elle se renversa sur le tabouret, le dos au mur, pour relever son bassin. Chantal avait dû abandonner le clitoris pour attraper la pince. Il restait pourtant tendu, enflé et enflammé par les tourments déjà subis. Il semblait palpiter sous l’afflux de sang et de douleur, toujours implacablement dénudé par la victime volontaire.
Chantal le reprit par le bout entre le pouce et l’index. De l’autre main, elle posa la pince à linge ouverte contre sa base, repoussant et remplaçant les doigts de Julia. Puis, les yeux fixés sur elle, elle laissa lentement se refermer la morsure. Inquiète, malgré ...
... tout, elle se tenait prête à retirer l’instrument si la souffrance s’avérait insupportable.
La torture devait être atroce, en effet. Julia se couvrit vivement la bouche pour ne pas hurler. Les pupilles écarquillées par l’épreuve, elle parvint à se dominer, puis tremblant de tout son corps et en sueur, elle enleva lentement sa main pour afficher un sourire extasié.
— Merci, Chantal, murmura-t-elle avec difficulté. Mais, je mérite plus, vous savez…
Une claque sèche en travers de sa vulve la fit sursauter, bouche ouverte, souffle coupé. Chantal répéta son geste, encore et encore, en empêchant les cuisses de se refermer, sans se préoccuper des tressautements pitoyables qui suivaient chaque gifle. Et chacune de celles-ci faisait vibrer ou heurtait la pince qui écrasait le clitoris, augmentant ses effets. Elle cessa quand les lèvres furent devenues rouges et gonflées. Elle les toucha du revers de la main pour constater qu’elles étaient brûlantes.
Julia tremblait de tout son corps et roulait des yeux pleins de larmes. En apnée, les dents serrées, elle refrénait à toute force les cris de douleur qui montaient dans sa gorge. Ses mains se tordaient dans l’effort qu’elle s’imposait pour ne pas les plaquer sur son intimité embrasée. La respiration lui revint enfin, à petits coups précipités.
— J’ai… j’ai toujours… de mauvaises… pensées… Ma… madame, haleta-t-elle.
Chantal était dans un état second. Quelque part, très loin dans son cerveau, sa raison lui demandait d’arrêter. ...