Dix onze douze - Histoires de Sexe

Dix onze douze

... l’enrobe, je force un peu pour mieux enfouir mon bout en feu. Angèle pousse un petit cri. Perdant le contrôle, je jaillis aussitôt !

— Ah… aah… aaah !
— Mais c’est pas vrai ! T’es vraiment en train de m’enculer et de jouir ! ?

Ses seins capturés, pressés, torturés par mes doigts avides, je me vide, c’est trop bon, j’essaye de ne pas perdre pied, car nous sommes quand même au-dehors, presque en public. Sinon, je serais rentré jusqu’au fond en la ramonant comme un fou furieux ! Mes saccades continuent, déclinant peu à peu, jusqu’à l’apaisement final.

— Ah putain ! Que c’était bon !
— Le « putain », c’est une exclamation ou c’est moi qui suis visée ?
— Les deux en même temps ! Dommage que nous ne soyons pas en privé, sinon je ne te dis pas ce que tu aurais pris dans le cul !
— Ben voyons !

Puis je me retire. Je relâche mon emprise. Vicieusement, j’essuie ma verge molle sur une fesse, sans aucune gêne, puis je remballe la marchandise. Angèle me gronde :

— Franchement, t’es un énorme cochon ! Je fais quoi, moi ? Tu m’en as mis partout ! !
— Tu restes comme tu es, ma jolie, le cul plein de sperme, et tant pis si ça dégouline le long de tes cuisses ou si ça tombe par terre ! Au pire, tu serres les fesses pour garder ça en toi.
— Faut pas t’en promettre, mon biquet ! Si nous étions mariés, toi et moi, Dieu seul sait ce que tu m’aurais obligée de faire !

Je capture son menton entre mes doigts, tournant son visage vers le mien :

— Obligée… c’est vite dit, ma ...

... belle pute. Je sais très bien que tu adores ça, mais ça t’arrange que ce soit moi qui prenne l’initiative. Je ne t’ai pas vraiment enculée, j’étais juste au bord, mais je te confirme que ton cul est au moins à la hauteur de ta bouche !
— Ah oui ? En tout cas, tu peux être fier de toi, c’est bien la première fois qu’on me fait un truc pareil !
— Et pas la dernière !

C’est alors qu’elle lance vicieusement une phrase que je connais déjà :

— J’espère bien !

Nous avons continué nos courses, Angèle ayant les fesses toutes collantes. Néanmoins, avant de monter dans la voiture, bon prince, je me suis fait un plaisir de lui nettoyer délicatement le popotin entre deux portières ouvertes, tout en n’oubliant pas d’aller câliner un certain bouton rose qu’elle a assez imposant.

Une autre initiative qu’elle a aussi beaucoup appréciée…

Quelques jours après l’épisode du magasin, le trio MAT m’a contacté pour nous proposer une prestation un peu particulière. Thierry m’a expliqué que Massimo pouvait avoir les clés d’un local assez particulier pour tout un après-midi. Quant à Abdel, comme d’habitude, il s’occupera de l’intendance, un repas dans un restaurant local étant planifié le midi pour que tout le monde fasse connaissance.

Confusément, je sens que ce ne sera pas banal, que c’est une occasion à saisir par les cheveux, sinon je risque de le regretter le reste de ma vie. Ne jamais remettre à plus tard ce qui est possible au plus tôt, car certains plats ne repassent jamais ...