1. Dix onze douze


    Datte: 20/07/2022, Catégories: fh, grp, frousses, cinéma, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, pénétratio, fsodo, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... t’a masturbée quand vous étiez seuls, ou devant ses connaissances.
    
    Elle se met à rougir comme une pivoine :
    
    — Euh… les deux… et… et… j’ai aimé ça…
    
    Et avant que je ne réponde, elle confesse :
    
    — Je ne sais pas pourquoi Henri me fait cet effet-là… Pourtant je n’ai pas d’attirance pour les hommes qui pourraient être mon père.
    — Son expérience ?
    — Oui, peut-être… c’est vrai qu’il a de l’expérience, c’est certain !
    — Tu te sens comme une petite chose entre ses mains ?
    
    Elle ouvre de grands yeux :
    
    — Comment tu sais ça ?
    — Je me suis documenté. Ton Henri a tout du profil du dominant, tendance sophistiquée, et ça t’attire parce que c’est nouveau pour toi, et que ça t’ouvre des perspectives inconnues.
    — C’est vrai que c’est totalement nouveau et que ça m’intrigue… Je suppose que je passerai à autre chose, une fois l’attrait de la nouveauté dissipé.
    
    Puis la discussion s’est terminée sur ces mots. Même si je reste sur mes gardes, je ne pense pas qu’il y a du danger du côté d’Henri. Idem en ce qui concerne Matthieu, car Lola s’amuse avec, comme on s’amuse avec un chiot. Mais il se pourrait que ce soit plus sérieux de la part du mari d’Angèle, il serait bien capable de tomber amoureux de ma femme. À moins que ce ne soit déjà fait.
    
    Je constate, au passage, que les choses vont mieux au lit avec Lola. Peut-être que nous étions tombés dans la routine. Je n’ai plus vraiment l’exclusivité de ma femme, mais en contrepartie, elle se libère un peu plus. Et moi ...
    ... aussi…
    
    Deux jours plus tard, Angèle me demande si je peux l’accompagner pour faire des commissions, car elle n’aime pas trop prendre le volant et qu’elle préfère ne pas être seule, Matthieu étant retenu pour des raisons professionnelles. Par acquit de conscience, j’en ai parlé à Lola qui m’a accordé sa permission :
    
    — Je peux bien te dire « ok » pour Angèle, tu m’as bien dit « oui » pour Henri…
    — Ce n’est pas tout à fait la même chose, ma chérie ! Ici, c’est pour faire les courses, pas pour jouer à « Histoire d’Ô », même en version édulcorée…
    — Oui, oui…
    — Je te rappelle qu’on va dans un grand magasin.
    — Et sur la route ?
    — Dans une voiture qui roule, ça limite les possibilités. Je reconnais qu’Angèle est assez… euh… dévergondée quand elle le veut, et qu’elle prend parfois des initiatives, mais je pense qu’il s’agit vraiment de faire des courses.
    — Peu importe, mon chéri. J’apprécie que tu m’en aies parlé avant de donner une réponse, même si j’aurais mauvaise grâce à dire « non ».
    
    De ce fait, aujourd’hui, j’accompagne Angèle pour ses courses après être venu la chercher chez elle. Je pense que celles-ci risquent quand même d’être épicées, même s’il faut vraiment remplir le frigo. J’en ai la confirmation quand elle me demande à peine trente secondes après être montée dans la voiture :
    
    — À ton avis : soutif ou pas soutif ?
    — Pas soutif, c’est évident !
    — Bien deviné, mon biquet. Seconde question : culotte ou pas culotte ?
    — Tu serais bien capable de ne pas en avoir, ...
«1234...17»