Sapho voyage en solitaire
Datte: 14/07/2022,
Catégories:
romantisme,
BDSM / Fétichisme
ff,
fbi,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
Lesbienne
Auteur: Xuodid, Source: Revebebe
... cerveau. Elle m’attrape par les cheveux. Ma langue, à son tour, s’aventure, lape ses lèvres, son jus, s’insinue dans les plis, escalade son clitoris enflammé. Mes lèvres aspirent, mes dents mordillent, elle en a des frissons, elle gémit, m’arrache presque les cheveux, m’écrase la face contre sa chatte.
Toute à notre excitation, je ne sais combien de temps cela a duré, mais je suis à présent, témoin visuel d’un orgasme féminin. Témoin de sensations ressenties et hors les contractions des muscles de mon bassin, je n’ai jamais vu de mes yeux mon sexe en jouissance. Je la vois partir en orgasme. Je l’entends gémir le souffle court. Agitée de spasmes, les lèvres s’écartent, rosissantes, le clitoris se rétracte un peu et sa vulve suinte davantage encore de sécrétions, son périnée palpite.
Alors quittant le visuel de son orgasme, je la lape à toute langue cherchant à entretenir son plaisir. Pour finir, elle lâche mes cheveux et bascule dos sur la table. Quel plaisir de la voir extasiée. Mais je m’inquiète et regarde tout autour de moi tout en me baissant.
Rien ne bouge, sinon Claire qui, en se levant, me prend par la main, m’entraîne dans la maison et me jette sans ménagement sur le lit. Elle m’enjambe, à genoux et à l’envers sur moi avec son joli petit cul face à mon visage. Elle doigte son clitoris, puis m’ordonne :
— Lèche-moi la rondelle. Ne t’inquiète pas, elle est toute propre, même en profondeur.
Incapable de rébellion, ma langue s’approche de la rosace. Par ...
... petites touches d’anulingus, je fais réagir la rondelle qui contracte et s’ouvre timidement un peu, puis frénétiquement je tortille ma langue, essaye d’entrer, refais le tour. Je souffle son trou comme on soufflerait une bougie puis plus fort comme on gonfle une bouée. Je reprends longuement les léchouilles, elle dilate un peu plus. Je lui mettrais bien un doigt, mais elle m’en empêche et s’assoit presque sur ma face à m’étouffer. Je ne vois plus son aimable petit trou, mais j’y fourre la langue plus profond encore, la tortille, dispensant des allées-venues intrusives.
Jérôme, si tu me voyais… Appuyée sur mon bas-ventre en experte, elle me doigte habillement. Nos corps s’enflamment. Nous montons au plaisir, à l’orgasme synchronisé, mais, me délaissant, elle se laisse tomber sur le côté, ne s’occupant plus que d’elle-même. Je me redresse et plonge son visage entre mes seins presque à l’étouffer. Le souffle court, elle touche une nouvelle fois à l’extase. Je la serre contre moi, affectueusement. Elle joint sa bouche à la mienne pour un vrai et premier baiser d’amoureuses. Je resterais des heures comme cela, mais pas elle. Elle est déjà debout et, à ma surprise, fouille mes tiroirs.
— Où caches-tu ton gode ?
Je n’ai pas envie de ça et lui dis que je n’en ai pas.
— Mon œil ! Où le caches-tu ?
Comme elle va finir par le trouver, je m’interpose.
— Je n’en ai pas, je te dis, mon homme est suffisamment bien équipé !
— Justement, je vais te prouver que nous n’avons ...