Après ! Le temps d'Après !
Datte: 13/07/2022,
Catégories:
fh,
couple,
copains,
vacances,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hgode,
confession,
vengeance,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... un effet fou.
Moi aussi j’explore le corps à côté de moi. J’en trouve le sexe encore humide, plaqué contre le pubis. Il bande à nouveau. Je suis fière de lui inspirer un désir si vite revenu.
Le gode entre en moi. C’est si facile. Mais au lieu de me satisfaire, il m’excite. J’ai envie de plus.
— Viens, prends-moi…
… Avouant sans pudeur que je veux que le bâton que je tiens dans ma main remplace ce jouet, accessoire pour femme seule. Je l’invite, mais aussi je me place. J’aime la levrette. Une fois passée la première fois où cette position peut paraître dégradante pour la femme, on apprécie cette façon de s’offrir.
J’offre ma croupe à mon amant. Il a rempli ma gorge, je veux qu’il me remplisse la chatte. Je me sens libre. Personne pour me juger. Demain ce ne sera qu’un souvenir que je pourrai reconstruire comme un rêve. Je me rends compte que d’une certaine façon j’avais envie de Pascal. Sa cour du début me manquait. Elle me rendait plus jeune, plus belle, plus, plus, désirée, et pas seulement la femme d’un copain.
Il ne refuse pas mon offre. Ses mains enveloppent mes hanches, flattent mes fesses… Non, ma croupe, c’est plus approprié… C’est mon état d’esprit, femelle qui s’offre au mâle. Je voudrais pouvoir me voir. Oh, non, je dois avoir une mine affreuse, le visage défait les cheveux gluants, comme je l’ai vu dans certaines vidéos que Thomas oublie parfois de fermer. Je sens son sexe et je ne sais si c’est lui qui a avancé ou moi qui suis allé à son ...
... devant, mais il me possède d’un coup.
— Ohhhh ! dit la femme adultère qui attire son amant.
Il est tout en moi et je sens déjà son ventre sur mes fesses. Lui aussi a envie, car il commence aussitôt à bouger. À la façon dont son mandrin a glissé en moi il ne peut ignorer que je suis toute chaude, que son cunni, que sa baise dans ma gorge ont « lubrifié » le chemin. Il me baise, me bourre… Tiens je trouvais le verbe « bourrer » vulgaire, mais ici il me semble bien à sa place.
— Oh, c’est bon.
Je ne peux me retenir d’avouer. D’ailleurs pourquoi je me retiendrais ? La chambre de sa femme, qui doit se demander ce qu’il fait à moins qu’elle se soit endormie, est trop loin pour qu’elle m’entende. Quant à mon mari… Tant pis pour lui… Il ne fallait pas se proposer en aide au SAMU… Voilà où son sacerdoce l’a mené… Que sa femme batifole dans les bras d’un autre, qu’elle…
— Oui, continue.
Oublie ton mari, ne pense qu’a l’instant…
— Encore.
Pascal est d’une vigueur extrême. Son bâton me remplit et repousse à chaque avancée les limites de ce qui avance en moi. Nos chairs claquent, ma chatte gémit d’un bruissement humide. Ses mains quittent mes hanches pour se poser sur mes épaules. Il me fait cambrer encore plus et sa bite explore des recoins inconnus.
— C’est bon. Baise-moi, baise-moi. Je te sens bien.
Je n’ai jamais été aussi vulgaire. À la rigueur un « encore », un « oui », un « c’est bon », pas plus. Mais Pascal ralentit. Ses mouvements se calment et même si ...