Après ! Le temps d'Après !
Datte: 13/07/2022,
Catégories:
fh,
couple,
copains,
vacances,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hgode,
confession,
vengeance,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... fais jouir et que lui aussi.
Elle est où ma vengeance ?
Et ce sexe qui reste dur.
Elle est où ma vengeance ?
Je me lève, attrape mon smartphone le lance en enregistrement vidéo, lui trouve la bonne place.
— Qu’est-ce que tu fais ? Pourquoi tu veux filmer ?
Je ne réponds pas. Son sexe a à peine faibli. Je le branle quelques secondes. Il est de nouveau érigé, tel un mât. Un mât sur lequel je viens m’empaler.
— Caresse-moi les seins.
Il s’exécute. Je m’active. Mais je ne quitte pas le smartphone du regard.
— Regarde Chéri. Je me fais du bien. Je baise ton copain. C’est bon… Pas si bon que cette nuit… Je sais que c’était toi… Vous m’avez manipulée.
Je sens le frisson qui parcourt le corps de Pascal. Il comprend tout.
— Regarde. Tu vois cette bite avec laquelle je me prends. C’est bon. Il est dur. Je l’ai déjà sucée. Il a joui dans ma gorge. Oh, je suis désolée, je n’avais pas pensé à enregistrer. Une prochaine fois peut-être ?
Je reste silencieuse. Je me concentre sur ce que je fais. Je veux qu’il voie mon plaisir, même si je force un peu le trait. Je gémis maintenant. Je me caresse le clito. Mes fesses claquent sur les cuisses. Pascal ...
... ne fait rien. Il aurait pu tout arrêter, mais doit penser que de toute façon le mal est fait. Alors, autant en retirer du bien.
— Ah, mon Chéri, merci de m’avoir ouvert le cul cette nuit.
Avec théâtralité, je me place en position. Au début, c’était juste une vengeance, mais maintenant je sais que plus rien ne pourra être comme avant. Je m’empale sur le mandrin. Je suis loin d’être préparée comme cette nuit et je me retiens de dire ma douleur. Ne rien montrer, ne rien laisser paraître, au contraire.
— Oh, mon dieu, que c’est bon. Il est plus gros que toi et je le sens qui me…
Je ferme les yeux. Je fais celle qui se concentre sur son plaisir alors que cela est douloureux. Enfin la douleur fait place à la gêne et si ce n’est pas très agréable au moins, simuler m’est plus facile.
— Regarde bien, mon Chéri. Il va me lessiver le cul. C’est le premier. Mais il y en aura d’autres. Pour toi, c’est fini. Tu pourras aller voir la salope de Sandrine. Tu m’as trahie. Salaud ! Salaud !
Je sens des larmes couler sur mes joues. Je m’en fous. De toute façon, j’ai pris ma décision, je vais le quitter. Oh pas tout de suite. Avant, je vais le cocufier et lui faire savoir…