L'érotisme du cyclisme (1)
Datte: 10/07/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Roberts, Source: Xstory
... indifférent à la chose. Peut-être même qu’ils allaient bientôt s’y mettre aussi. Agnès fut d’ailleurs abordée par une femme mince d’une soixantaine d’années à peine, aux cheveux argentés coupés court, qui grignotait un sandwich.
— Alors, la nouvelle, on découvre la randonnée cycliste ? dit-elle, un sourire en coin qui en disait long.
— Oui, c’est étonnant, répondit Agnès, qui se présenta.
— Moi c’est Martine. Je suis une vieille routière de ces randonnées.
— Et vous n’allez pas... dans le bois ?
— Non, plus maintenant. J’en ai beaucoup profité, mais à mon âge (j’ai soixante ans), il faut choisir : baiser ou pédaler. Si je me faisais sauter, j’aurais du mal à rentrer en vélo. Mais telle que vous me voyez, je suis en feu. Je me suis masturbée en arrivant, mais ça ne m’a pas calmée. On se tutoie ?
— Oui bien sûr.
— Tout à l’heure en rentrant, je vais sauter sur mon mari, il a intérêt à être en forme. Seule une vraie bite peut me calmer, comme les filles dans le bois en ce moment. Mais au fait, toi, tu n’as pas besoin aussi ?
— Euh, si, mais je n’ai pas mon mari sous la main.
— Ce n’est pas un problème, ça. Il y a des hommes ici pleins de vitalité qui peuvent te soulager.
— Mais leurs femmes, leurs copines ?
— Bof, elles ont l’habitude et d’ailleurs, elles ne se gênent pas elles-mêmes pour se passer leur julot. On est tous libertins ici. Un peu par la force des choses, car la selle, c’est terrible pour la fidélité.
— J’avoue que je n’avais pas ...
... vu le vélo comme ça.
— C’est la position qui veut ça. La femme, quand elle se penche sur le guidon, met ses parties intimes en contact direct avec la selle et à la longue, cela provoque une intense excitation. Peu de femmes y échappent, en tout cas pas moi, même à mon âge. Je dirais même, surtout à mon âge.
— Et pourquoi ?
— Parce qu’à force, on évacue tous ses tabous et on sait qu’on n’a plus de temps à perdre. J’adore baiser et plus je baise, plus j’aime baiser. D’ailleurs, j’arrête d’en parler, car je vais être obligée d’aller au bois.
Sur ces entrefaites, les couples sortirent peu à peu du bosquet, le visage réjoui et les vêtements rajustés.
— Je meurs de faim, s’écria Maud en se jetant sur ses sandwiches extraits de son sac à dos.
Sandrine sortit un peu plus tard en compagnie de Pascal, des deux jeunes cyclistes et de Julie et Fabienne. Visiblement satisfaits eux aussi. Sandrine s’assit à côté d’Agnès pour manger elle aussi.
— Ouf, ça va mieux, excuse-moi de t’avoir plantée là, mais il me fallait une bite à tout prix.
— Et... tu l’as trouvée, apparemment.
— Oui, Pascale m’a prêté son mari. Elle avait déjà joui et Pascal était encore gaillard. Elle a 53 ans et voulait garder un peu d’énergie pour terminer la rando. Mais Pascal a vraiment assuré, une vraie mitraillette. Remarque, Pascale n’avait rien à me refuser vu qu’elle a bien profité de mon mari aussi en d’autres temps.
— Je suis vraiment épatée que cela vous pose aussi peu de problèmes, ...