L'érotisme du cyclisme (1)
Datte: 10/07/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Roberts, Source: Xstory
... ces échanges.
— C’est parce que c’est dans le cadre de la rando. Une fois rentrés chez nous, on se comporte comme des couples normaux. Il ne me viendrait pas à l’idée d’aller baiser chez mes partenaires cyclistes. Le vélo, c’est notre parenthèse libertine. Tu verras, tu t’y feras aussi.
— Je ne crois pas.
— On en reparlera. Bon, maintenant, on mange, car il faut terminer le parcours et j’ai les jambes un peu molles. Pascal m’a vraiment défoncée, le salaud. J’avais le nez dans la mousse et il me pilonnait par-derrière. Mais que ça m’a fait du bien !
Après avoir frugalement déjeuné, chacun remonta sur son vélo pour terminer la randonnée. Le rythme était nettement moins soutenu (et pour cause) qu’avant la pause si bien qu’Agnès put suivre sans difficulté malgré la fatigue liée au manque d’entraînement. Son esprit vagabondait tout en pédalant. Les images du bois hantaient son cerveau. Les grosses couilles de Pascal ballottant contre les fesses de Pascale, totalement écartelée et criant de plaisir. La longue bite de Christophe entrant et sortant de la vulve de Corinne appuyée sur son arbre et l’encourageant : "plus vite, plus vite, plus vite". Le joli cul de Maud dansant sur la tige de son mari qui ripostait à grands coups de hanches. Les bouches voraces de Julie et Fabienne sur les glands violacés de Damien et Martial. Et un peu plus loin, deux autres couples non identifiés à travers le feuillage, mais dont les cris féminins témoignaient de l’intensité de leur ...
... coït.
Et enfin les propos crus de Martine et de Sandrine qui illustraient leur envie de pénis. Et elle maintenant, Agnès, chaude comme la braise, excitée par les culs de cyclistes mâles en mouvement devant elle, qu’elle imaginait dépourvus de leur cuissard en train de s’agiter entre ses cuisses.
A l’arrivée au parking, elle fourgua vite son vélo dans son coffre, fit une bise furtive à Sandrine, salua la compagnie de la main, et mit le cap sur son domicile. Pourvu que Philippe soit là, se disait-elle.
De fait, il était en train de jardiner paisiblement, un sécateur à la main. Lorsqu’il vit arriver Agnès, toujours en tenue de cycliste, il s’exclama :
— Ah, voilà la princesse du vélocipède. Pas trop fatiguée ?
— Pas du tout. Et toi ?
— Pourquoi cette question ? Tu sais bien que le jardinage me détend. Mais... qu’est-ce que tu fais ?
Agnès s’était lovée contre lui accroupi, écrasant ses seins contre son dos et glissant une main entre ses jambes à la recherche des couilles. Philippe en lâcha le sécateur ; Agnès ne l’avait pas habitué à une telle audace, là, dans le jardin, et encore moins à proférer ces propos :
— J’ai envie de baiser, là, tout de suite.
— Mais... pas ici quand même, les voisins pourraient nous voir.
— Je m’en fous, j’ai envie de baiser dehors, dans l’herbe.
Et joignant le geste à la parole, elle fit passer son maillot par-dessus sa tête, dégrafa son soutien-gorge, libérant ses deux lourdes mamelles et, devant le regard éberlué de son ...