1. L'érotisme du cyclisme (1)


    Datte: 10/07/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Roberts, Source: Xstory

    ... qui ne lui furent pas présentées, sauf un jeune homme prénommé Martial, son cousin Damien, tous deux cyclistes chevronnés. A la fin, Agnès s’y perdait un peu, mais tous lui parurent très sympas.
    
    Le petit peloton partit sur les routes de campagne. Agnès se positionnait en serre-file avec Sandrine et elle ressentit au bout d’une heure une fatigue qui l’obligea à décrocher, en compagnie de son amie.
    
    — Ne t’inquiète pas, on les retrouvera tous au lieu du pique-nique, continuons à notre rythme, lui dit Sandrine.
    
    Une heure plus tard, le rendez-vous était atteint à la lisière d’un petit bois, où les dames pouvaient aller satisfaire à leur besoin naturel. Sandrine interrogea Agnès :
    
    — Alors, comment te sens-tu ? Tu peux continuer ?
    
    — Oui, mais j’ai vraiment mal aux pattes. Et puis... il y a autre chose.
    
    — Quoi donc ?
    
    — Euh, comment te dire... Je ressens une certaine excitation là où je pense. Comment si on m’avait, euh... frottée.
    
    Sandrine éclata de rire.
    
    — Eh oui, c’est normal. Bienvenue dans le monde du vélo féminin. Le frottement de la selle excite la chatte. Pas tout de suite, il faut rouler pas mal, mais au bout d’un certain temps, ça fait vraiment de l’effet sur beaucoup de filles. Tiens, regarde autour de toi, il manque du monde auprès des vélos. Viens avec moi, tu vas comprendre.
    
    Sandrine entraîna Agnès dans le petit bois. Elles n’eurent pas besoin d’aller loin. Elles découvrirent successivement Maud entièrement nue en train de chevaucher son ...
    ... mari allongé dans la mousse ; Corinne le cuissard sur les chevilles, appuyée sur un arbre et possédée par derrière par Christophe, tout aussi déculotté ; Pascale besognée en missionnaire par Pascal tout en se tenant les chevilles bien écartées et enfin Fabienne et Julie réunies pour sucer Martial et Damien avant vraisemblablement de passer à l’étape suivante.
    
    Agnès en était restée bouche bée.
    
    — Tu vois, c’est aussi ça la randonnée cycliste...
    
    — Eh ben dis donc... eh ben dis donc...
    
    — Au bout de deux heures de selle, on a toutes envie de baiser. Moi y compris. Mais mon mari n’est pas là. Excuse-moi, mais je vais voir si un mec ne peut pas me soulager. J’en ai repéré un très mignon. Si tu veux en profiter...
    
    — Euh... non merci. Va, vis ta vie...
    
    Et la grande Sandrine s’en fut vers le lieu de pique-nique. Agnès la suivit à distance et la vit parler avec un garçon assis par terre qui sirotait son bidon. Au bout de quelques minutes, il se releva et Sandrine le prit par la main, en direction du petit bois. Agnès la suivit des yeux s’enfoncer sous les frondaisons en compagnie de son chevalier servant en cuissard. "Ils vont baiser, forniquer, s’envoyer en l’air aussi naturellement qu’ils font du vélo et moi, je suis là comme une conne à attendre qu’ils aient fini", se dit-elle. Elle rejoignit le lieu de pique-nique où une poignée de cyclistes d’âges divers avaient commencé à déjeuner, sans doute parfaitement averti de ce qui se déroulait près d’eux, mais parfaitement ...
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