La déchéance d'une Demoiselle (6) - Histoires de Sexe

La déchéance d'une Demoiselle (6)

... symboliser le fait que tu m’appartiendras.

Étrangement cette discussion avait l’air de l’avoir calmée, comme si le but tangible que représentait le contrat lui avait permis de raffermir sa volonté et outrepasser, pour un temps tout du moins, sa peur. Maintenant calmée elle se rendit enfin compte des regards qu’on nous jetait de temps à autre et cela la mit mal à l’aise, mais ce fut uniquement quand on passa à côté d’un magasin avec une vitrine qui réfléchissait particulièrement qu’elle se rendit vraiment compte de l’image qu’elle renvoyait.

Ma future Chienne s’arrêta devant la vitrine, observant l’inconnue que la vitre lui réfléchissait. Bien que personne ne puisse déceler l’indécence de sa tenue sous son manteau, l’état de ses cheveux, les cernes sous ses yeux, mais surtout les marques de suçons et de dents sur son cou comme ses genoux rougis, ne laissaient que peu de doute sur nos activités nocturnes. Chose qui normalement ne l’aurait aucunement gênée, mais là, combinée au reste, avait l’air de la troubler terriblement et je dus la forcer à avancer pour qu’elle délaisse cet hypnotisant reflet.

Le reste de la marche se passa tranquillement, mais je commençais à avoir faim et j’imaginai que ma Chienne en devenir aussi, même si elle n’allait pas le dire. Je décidai donc de faire un petit détour vers une boulangerie. La belle eut un peu de mal à rentrer dans l’établissement très fréquenté à cette heure matinale et je la sentis se serrer à nouveau contre moi quand on ...

... se mit dans la queue.

Je profitai qu’il n’y avait encore personne derrière nous pour passer une main discrète sous son manteau et caresser les deux belles rondeurs qu’elle m’avait si généreusement offertes. Ma belle me regarda pour me supplier d’arrêter, mais quand ma main se fit plus entreprenante et qu’un doigt se faufila lentement entre les capotes, elle fut obligée d’enfouir sa tête dans mon torse pour étouffer un gémissement qui la prit par surprise. Mon doigt resta quelques instants à caresser légèrement l’intérieur de cette chaude fente avant de revenir à ses fesses pour que je puisse en pincer une. Elle étouffa un cri, de surprise plus que de douleur, qui malgré tout fut suffisamment audible pour que notre voisin de devant se retourne interloqué, mais comme espéré, il suffit d’un sourire ingénu pour qu’il nous oublie aussitôt. Comme notre tour allait arriver, je voulais m’amuser encore un peu, je lui tendis un billet en lui disant :

— Tu commanderas pour nous je prendrai un pain au raisin, un croissant et du thé pour moi, prend ce que tu veux.

Puis-je me penchai vers son oreille pour y chuchoter :

— Mais je te conseille de pas trop t’approcher des gens, la lotion que tu t’es étalée sur le corps sent fort, je peux te dire que tu embaumes.

Je la vis passer au rouge vif juste avant de commander, ce qu’elle eut tout le mal du monde à faire, bégayant ou se trompant dans sa commande, éprouvant fortement la patience de la boulangère au passage. Boulangère, qui ...