La déchéance d'une Demoiselle (6) - Histoires de Sexe

La déchéance d'une Demoiselle (6)

... dans le dos pour essayer de calmer ses tremblements et se pencha pour déposer des baisers sur mes chaussures, me laissant une vue imprenable sur son fessier et la chair de poule qui recouvrait tout son corps.

— Tu sais que si je te laisse m’accompagner tu seras sévèrement punie ? Lui dis-je après un long moment à la regarder.

— Je me doute que oui, Monsieur. Me répondit-elle entre deux baisers.

— Et ce sera bien pire que tout ce que tu as subi jusqu’à maintenant.

— Monsieur, je subirai volontiers la punition que vous jugerez nécessaire si vous avez la bonté de me laisser venir.

J’allais répondre quand un “ Oh bordel regarde ça “ me coupa et pétrifia ma belle. Je me retournai pour voir qui avait bien pu dire ça pour tomber sur deux jeunes qui devaient rentrer, eux aussi, de soirée. Ils nous regardèrent complètement ahuris par la scène qui se déroulait devant eux. Je réfléchis vite, j’avais terriblement envie de les laisser jouer avec ma Salope, elle l’avait mérité et ça aurait été une punition des plus parfaites. Je me voyais déjà la prendre par les cheveux pour la redresser et l’exposer à leurs regards avides, les inviter à approcher pour qu’ils puissent tâter de ses seins comme de ses trous et peut-être même de leur offrir une fellation. C’était si tentant, juste une main dans les cheveux, un simple geste, ma petite Salope ne me l’aurait très certainement pas refusé, mais aurait-elle réussi à le supporter ?

Je me repris, malheureusement ce n’était ni le ...

... moment ni le lieu pour ça et de toute façon ma priorité était déjà de régler mes affaires avec elle. Alors je pris un regard méchant et leur dit brutalement.

— Vous vous êtes bien rincé l’œil, ça va ? Allez foutez moi le camp tout de suite.

Sans doute impressionnés par cette situation qu’ils ne comprenaient, de toute évidence, pas vraiment. Les deux jeunes partirent précipitamment sans demander leur reste, non sans un dernier coup d’œil vers ma belle Salope. Quant à elle, cet échange l’avait complètement tétanisée, son front contre ma chaussure, elle tremblait allègrement.

— Regarde-moi ! Lui intimai-je.

Prenant sur elle pour se relever, ses yeux vinrent lentement se visser dans les miens.

— Tu vois deux personnes viennent de découvrir ce que tu es pourtant tout c’est bien passé non ?

— Oui Monsieur, tout s’est bien passé. Me répondit-elle avec une voix des plus hésitantes

— Alors calme toi, lâche prise, ne pense plus à rien et fais-moi confiance pour que la suite se passe tout aussi bien.

Elle ne me répondit rien et je ne fus pas sûr que mes paroles aient été vraiment efficaces et c’était peut-être juste une vue de l’esprit, mais il me sembla que ses tremblements s’étaient un peu calmés.

— Que ce soit bien clair, si j’accepte que tu me suives je te réduirai à l’état de Chienne voir moins si tu montres les bonnes dispositions. Ton seul moyen de sortie sera ton safeword mais tu connais la contrepartie et n’y aura pas de moyen de jouer sur les mots cette ...