La déchéance d'une Demoiselle (6) - Histoires de Sexe

La déchéance d'une Demoiselle (6)

De belle Salope à Chienne docile Partie 1

C’est à ce moment-là qu’elle réalisa vraiment ce que je lui demandais. J’avais dit de mettre des chaussures et un manteau mais rien de plus. Elle comprit alors que je voulais la faire sortir nue, uniquement vêtue de son manteau, complètement souillée de mon sperme et toujours ornée de son plug et des capotes.

Tétanisée, elle me regardait de ses beaux yeux gelés ou commençaient à perler des larmes. Elle ne put que murmurer des “je suis désolée” et des “ je ne pourrai pas le faire” en boucle. Elle était visiblement complètement scindée en deux par l’envie de me suivre et par la peur de ce que je lui demandais de faire qui la paralysait totalement.

J’ouvris sa porte et lui demandai une fois encore.

—Dernière chance, si je sors tu ne me reverras plus.

Voyant qu’elle ne bougeait pas je rajoutai.

—C’est dommage.

Et je refermai la porte derrière moi.

Chapitre 6 :

J’étais particulièrement déçu, la Demoiselle avait un vrai potentiel et j’aurais vraiment adoré la réduire à l’état d’objet. Mon objet pour être précis. Je descendis les escaliers dans la lumière du petit matin qui finissait par arriver en me repassant la belle nuit que je venais de passer. J’étais fatigué, mais des plus satisfait et hormis le fait qu’elle ne m’ait pas suivi je ne regrettais rien du tout. La pauvrette devait, sans doute, être en train de prendre une douche et panser ses plaies en se demandant comment j’avais pu la corrompre si ...

... facilement, comme si c’était moi qui prenais du plaisir dans la douleur…

Bref elle allait retourner à sa petite vie bien rangée, reléguant ses plaisirs coupables bien au fond d’elle-même, condamnée à être perpétuellement insatisfaite ou à finalement dominer sa peur. Cette peur qui la contrôlait, cette peur de ses envies, cette peur d’elle-même, cette peur de ce qu’elle voulait devenir. Peut-être qu’un jour quelqu’un arrivera à lui faire lâcher prise et passer outre cette peur, mais cette personne sera quelqu’un d’autre, malheureusement. Quel gâchis que cette peur l’ait paralysé à ce point, avec un peu d’entrainement, elle aurait été en parfaite harmonie avec ma Chose, dommage, vraiment dommage.

La porte était ouverte et j’allais sortir quand j’entendis le bruit d’une personne dévalant l’escalier derrière moi.

— Monsieur ! Monsieur ! S’il vous plaît attendez, ne sortez pas !

Je me retournai pour voir cette ravissante Demoiselle dévaler l’escalier pour redevenir ma belle Salope en se jetant à mes pieds dans la position que je lui avais apprise, les yeux baissés.

Peut-être m’étais-je trompé ? Peut-être que cette personne allait être moi finalement...

— Je suis désolée Monsieur, vraiment désolée. Je suis prête à vous suivre maintenant, ne me laissez pas, je vous en supplie.

— Je te l’ai dit, si je sors, ça sera fini. Lui répondis-je fermement.

— Pardonnez mon impertinence Monsieur, mais vous n’êtes pas encore sorti.

Elle jouait sur les mots, aucun de nous deux ...