1. Service aux Réfugiés


    Datte: 06/07/2022, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... glissait presque hors de son boxer. En mangeant, elle a dû se concentrer pour ne pas écouter les commentaires de maman et d'Elsa, qui trouvaient Abdoul adorable.
    
    Après avoir mangé rapidement, elle a posé ses couverts dans l'évier, puis elle a mis ses chaussures. Elle a vérifié ses documents médicaux qu'elle a fourré dans son sac.
    
    «Je vais au camp, maman! Je t'enverrai un texto quand j'aurai fini!»
    
    «Oh, c'est aujourd'hui! Amuse-toi bien, chérie!» cria maman en retour, en frottant la grosse canne d'Abdoul de sa petite main blanche.
    
    Manon soupira. Elle espérait vraiment qu'elle ne deviendrait pas comme sa mère ou à sa sœur, même si elle était jalouse d'elles. Elle espérait simplement que les réfugiés qu'elle devrait servir ne seraient pas non plus trop épais, trop impressionnants. Son pucelage, elle l'avait perdu dans une soirée étudiante, un garçon qui lui avait paru gentil, qui s'était révélé être un rustre, qui lui avait fait horriblement mal.
    
    Elle marchait vite, parce qu'elle voulait en finir rapidement avec cette stupide prostitution du programme, pas parce que cela l'excitait. C'est ce qu'elle pensait, à ce moment-là.
    
    Elle a traversé sans les voir les rues de la banlieue grise. Elle vivait dans un immeuble à loyer modéré. Les murs n'étaient guère épais. La nuit, les femmes exprimaient à haute voix leur satisfaction d'être livrées à des réfugiés virils et effrayants. Elle ne pouvait donc pas prétendre qu'elle ne savait pas vers quoi elle marchait.
    
    Le ...
    ... camp de réfugiés se trouvait juste à la sortie de l'agglomération, dans un grand champ, à quelques kilomètres de sa maison. Rempli de grandes tentes kaki de l'armée, quelques cabanes en planche, les allées en gravier tracées au cordeau. Ce n'était pas un endroit de villégiature. Mais toutes les femmes blanches venaient là avec le sourire.
    
    Sitôt franchi le mur d'enceinte, on pénétrait dans un autre monde. Les gens qui vivaient là s'y promenaient, comme si tout était normal, mais pour Manon, c'était incroyable.
    
    Une tente ouverte, un couple au sol, la femme blanche sur le dos, les pattes en l'air, couverte par un immense noir, vêtu d'une djellaba. Le visage crispé, les yeux fermés, indiquaient tout aussi bien un immense plaisir qu'une intense douleur.
    
    L'homme s'est soulevé sur ses bras tendus pour regarder jouir la femme qu'il possédait. Elle a levé une jambe bien haut, pour lui faciliter la tâche. Il s'est retiré d'un coup avec un pop sonore. Il était énorme, et sa bite trempée des jus de la femme se balançait doucement dans l'air frais du matin.
    
    La femme ne portait qu'une chemise kaki des volontaires du camp. Débraillée, ses tétons durcis pointaient sur ses seins flasques. Elle était si menue, si fragile sous le grand gaillard qui la besognaient. Elle a émit un grognement d'impatience. Il a aligné son énorme bite en face de la petite chatte désireuse. Il l'a pénétrée d'un coup. D'une seule poussée, à fond. Le ventre de la femme s'est gonflé, elle s'est libérée d'un ...
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