1. L'éveil d'Aurore


    Datte: 20/08/2018, Catégories: fh, ff, fhh, extracon, cocus, inconnu, nympho, bain, Oral double, merveilleu, sorcelleri, contes, couple, extraconj, Auteur: Bicocu, Source: Revebebe

    ... vous, mes jolies ?
    — Eh bien, nous nous demandions si vous n’auriez pas une chambre pour nous deux en échange d’un peu de service.
    — Ma foi, vous êtes bien jolies mais mes filles servent déjà en salle, cependant… Seriez-vous prêtes, mes mignonnes, à plaire aux clients ? À satisfaire leurs désirs ? En deux mots, pourriez-vous mettre vos attraits au service de l’auberge et soulager les bas besoins des chalands de passage ?
    — En somme, dit Aurore, vous manquez de ribaudes pour soulager et combler certains appétits de cette bande de cochons que ni vos bières ni vos rôtis ne peuvent apaiser ?
    — Tout juste, et joliment dit, ma belle ! Ce soir, on manque de cochonnes !
    — Pour louer nos faveurs, il faudrait, cher Monsieur, nous offrir un peu plus que le simple couchage.
    — L’affaire est entendue : je vous offre la chambre, le souper, le déjeuner de demain plus 10 ducats par galant. Je gérerai moi-même votre clientèle. Pas d’argent dans la chambre ; cela prévient du risque de vous voir agressées par quelque malandrin venu vous dépouiller.
    — Vous seriez bien aimable de nous montrer notre chambre et de fournir un baquet et de l’eau pour pouvoir nous laver.
    
    Après s’être installées, elles redescendirent et se mirent au souper. Elles aperçurent dans un coin le capitaine et Louis plaisamment assis en belle compagnie. « En voilà deux qu’auront pas à payer… » dit Maude, amusée. À peine attablées, elles se firent aborder par des gardes en repos qui leur offrirent la tournée. Les ...
    ... hommes étaient d’humeur entreprenante et se laissaient aller à la plaisanterie. Leurs mains s’égaraient avec facilité sous les jupons des filles ou bien dans leur corsage.
    
    — Tout doux, beau capitaine ! Ne vous emballez pas. Pour pouvoir nous toucher, il faut voir l’aubergiste ; il vous dira lui-même ce qu’il vous faut payer !
    — Par la Grâce ! Les ribaudes sont vraiment en service !
    — Vous n’allez pas vous en plaindre, car ainsi vous pourrez tous, avec nous, soulager ce mal qui tend votre bourgeon.
    — Mais d’abord vous devrez nous laisser finir de souper, car personnellement j’aime baiser bien remplie…
    — Hohoho ! Voilà une cochonne comme on aime à en trouver. Êtes-vous du pays ou simplement de passage ?
    — Nous sommes de passage et ne resterons pas. Il vous faut profiter du temps de la soirée.
    — Eh bien, en ce cas je pars payer de suite pour tremper mon asperge dans votre joli croupion sitôt que votre souper sera terminé !
    
    Leur souper fini, les deux jeunes femmes se levèrent, débarrassèrent leurs écuelles. Elles montèrent dans leur chambre accompagnées de deux des gardes. Pendant plus de quatre heures, elles ne descendirent pas. Quand un homme les quittait, un autre le remplaçait. Il n’y avait guère de temps pour les préliminaires. Les hommes baissaient leurs chausses et s’allongeaient sur elles. Elles connurent ce soir-là de tous les gabarits et en reçurent les hommages dans tous leurs orifices.
    
    Philippe s’était couché tôt et, ne sentant rien venir, il s’était endormi ...
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