L'éveil d'Aurore
Datte: 20/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
extracon,
cocus,
inconnu,
nympho,
bain,
Oral
double,
merveilleu,
sorcelleri,
contes,
couple,
extraconj,
Auteur: Bicocu, Source: Revebebe
Il était une fois un royaume paisible dirigé par un jeune couple charmant. La reine Aurore et son prince Philippe. La reine Aurore avait été frappée enfant par une malédiction qui, dit-on, la fit dormir cent ans, sans que son corps n’en soit ni vieilli ni altéré, et ce sommeil magique toucha tout son royaume qui fut également plongé dans la léthargie et l’oubli. Aurore avait une beauté sans égale, une longue chevelure dorée, une taille de guêpe, une poitrine généreuse, une peau très claire et laiteuse et des yeux aussi bleus qu’un ciel de juin.
Elle avait été réveillée de son sommeil maléfique par le tendre baiser du jeune et vaillant prince Philippe. Ce dernier avait affronté maints dangers et accompli maints exploits pour approcher le donjon où la belle était gardée. C’était un jeune homme romantique qui s’était fié à cette vieille histoire de royaume oublié à laquelle plus personne ne croyait. Mais Philippe rêvait de quêtes et d’exploits chevaleresques. Il résolut de partir à l’aventure par un beau matin d’avril sous les regards moqueurs de ses parents et amis. Comment il arriva jusqu’à la belle fut jadis raconté, et nous n’y reviendrons pas.
L’histoire de la Belle au Bois Dormant n’était pas une légende et, sous un beau soleil d’avril, après un an et un jour de recherches et gestes héroïques, Philippe réveilla, par ses caresses intimes et ses baisers avides la tendre Aurore jusque là endormie. La belle aurait dû être effarouchée par la vision qu’il lui fît, le ...
... pourpoint défait et les chausses baissées, un pieu bien raide fièrement dressé entre ses jambes. Mais au contraire, elle en fut émoustillée et l’accueillit dans ses bras, les cuisses bien écartées. Ce qu’une aiguille avait fait, une autre le défaisait et Philippe s’introduisit avec tout son cœur et toute sa force dans les chairs d’Aurore, perforant d’un coup l’hymen de la belle encore alanguie.
Le jeune homme était vigoureux et le faisait savoir. Son goupillon s’activait avec toujours plus de vigueur et d’élan. Son souffle était fort et il s’encourageait par des « Ah ! » et des « Han ! ». La belle gémissait et criait d’étonnement. Ses mains s’agrippaient aux draps de sa couche, les déchiraient. Elles s’agrippaient aussi aux épaules et au dos de son amant. Aurore s’y cramponnait. Elle le griffait. Le rythme s’accélérait. Elle en était ébranlée. Elle sentit en elle la verge puissante se contracter. Elle était secouée de spasmes et dans un dernier « Ooooooooooooh ! » le prince s’écroula sur elle, terrassé par sa propre jouissance. Aurore était déçue : voilà cent ans qu’elle n’avait été touchée, d’aucune manière, cent ans qu’elle n’avait pas joui et voilà que ce prince (au demeurant charmant), pourtant vigoureux, s’était répandu en elle quelques secondes trop tôt, juste au moment où pointait l’orgasme.
L’occasion fut donnée, plus tard, au jeune prince de se rattraper et bien qu’il le fasse, la belle Aurore n’en fut pas rassasiée. Le prince Philippe n’était pas un étalon et ne ...