Mémoires d'une jeune suceuse (5)
Datte: 04/07/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: JeuneSuceuse, Source: Xstory
... moins de temps, c’est-à-dire en comptant seulement ses jours de week-ends...
Non, je ne te le dirai pas, Journal chéri : pardon si je te vexe, mais tu gardes assez mal les secrets, jusqu’à présent...
Bon, ce n’est pas le tout, mais il va bien falloir que je m’alimente un peu de nourriture terrestre, maintenant : Le goût du foutre épais que je savoure depuis ce matin commence à s’estomper, et sa disparition va m’autoriser à manger pour de bon (enfin, pour du moins bon), car il faut bien survivre, puisque je me dois à sa grosse bite... ]
[ Mercredi 3 février
Cher Journal,
Aujourd’hui, je vais devoir serrer mon écriture sur ta page, car c’est la dernière que tu m’offres, avant d’arriver à ta troisième de couverture.
Je te dirai que la journée d’hier s’est assez bien terminée, puisque Monsieur de Cordeval m’a finalement écrit le récit de l’aventure au magasin, tu sais, celle dont j’avais manqué le coche.
Oh ! J’ai bien envie de te la retranscrire ici, alors si tu permets, je vais en noircir le feuillet de ta page de garde, lorsque j’aurai achevé de te raconter ma journée d’hier...
Après cet épisode, qui ne fut pas sans mettre ma petite fente toute lisse dans un sacré état, j’ai pris un bain, puis j’ai attendu le soir, et l’heure où les quelques mâles qui trompent leur amoureuse pour m’écrire leurs fantasmes viennent gratter à ma fenêtre, quand la nuit est déjà suffisamment sombre pour que leur visite s’y puisse dissimuler...
Aussi, l’heure venue, ...
... Monsieur de Cordeval m’a priée de ne leur plus répondre à cette heure hier soir, malgré les instances de leurs petits mots, afin que je me consacre tout entière à son gros membre, en mal d’une jeune bouche...
C’était génial, Journal chéri ! Je me suis fait baiser mon petit visage sans pouvoir bouger du tout, contre les différents meubles de sa maison...
J’avais beaucoup attendu ce moment, et ma petite mandibule ne fut pas en reste : elle en a tellement pris pour son compte, que je suis bien aise de pouvoir te raconter tout ça à la plume ce matin, parce qu’aujourd’hui, c’est à peine si je puis articuler, avec les courbatures...
Quelle douce torture ça m’a été ! A la fin, lorsqu’il s’est planté tout au fond de ma gorge pour s’y répandre dans les insultes froides que j’adore, ce me fut presque une délivrance, de me sentir noyer à demi dans son bouillon de semence...
J’ai eu des glaires de sperme toute la nuit, et ce matin-midi, en m’éveillant, ma petite bouche pâteuse a son congé, pour ma peine, et mon bon travail nocturne...
Pas de nouvelles de Monsieur de l’Arbre ni du beau marin ce jour : Il se peut qu’ils me tiennent tous deux rigueur, de n’avoir pas eu hier la préséance sur Monsieur de Cordeval, qui fut le premier arrivé, et partant, le premier servi...
Mais là n’est pas la question, car il m’est aussi un ami et mon complice dans cette suite de fenêtres...
Lors, Journal chéri, ne t’étonne pas si je cesse d’écrire sur tes pages : Le contrat qui me lie à toi ...