Mémoires d'une jeune suceuse (5)
Datte: 04/07/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: JeuneSuceuse, Source: Xstory
... compte exprès pour m’écrire.
Alors, il faut que je lui réponde, tu comprends...? Ça se fait, dans ces cas-là, tout de même, et puis tu connais mon éducation...
Tu penses qu’il le saura, le beau marin, si je lui réponds en pensant au goût que doit avoir la grosse queue de Monsieur de l’Arbre, à la fin de sa journée...? Tu penses que Monsieur de l’Arbre m’aura comprise, et que s’il se masturbe d’ici là, il aura l’idée de ne pas s’essuyer, pour me nourrir plus tard...?
Oh tu sais, Journal chéri, j’ai un peu honte d’avoir faim de la semence d’un monsieur comme lui... Mais que veux-tu, je ne fais pas exprès, et je te dis tout ça parce qu’un journal, ça ne peut pas répondre, alors je sais que tu ne commenteras pas ma lubricité pour la juger ni que tu n’y feras aucune allusion, d’ailleurs... C’est pour ça que j’écris sur ton corps, vois-tu... C’est parce que tu ne réponds pas, tout simplement.
Mais chut... Referme vite tes pages... Le Monsieur ne doit pas savoir que je meurs d’envie de sucer sa bite à genoux... Tu ne lui diras pas, hein ? Je te fais confiance... ]
[ Vendredi 29 janvier.
Cher journal,
Ce matin, comme tu t’en souviens, j’ai dû me lever très tôt (le Soleil bâillait encore) pour aller faire des examens à la clinique.
Tu sais bien, toi, que ma petite fente toute lisse est si douce, que même le coton d’une culotte lui est désagréable... Alors tu devines comme il a été difficile de me résoudre à en mettre une... Il m’a fallu le faire, ...
... pourtant.
C’est un jeune homme qui m’a fait l’échographie abdominale, et le gel gras qu’il est venu étaler partout sur mon ventre blanc ne m’a pas laissé de penser, tandis que je l’essuyais à la fin, qu’entre mes doigts, c’était tout huileux, comme doit l’être du lubrifiant. Enfin, j’imagine, parce que le sexe anal, je ne connais pas encore, et que pour le reste, j’aime mieux les secrétions masculines, pour graisser mon petit corps...
Pardonne-moi de me répéter, Journal : j’ai dû l’écrire déjà cent fois sur tes pages.
Pendant que le jeune homme fouillait mon ventre avec cet appareil qu’il faisait glisser sur moi, j’ai espéré très fort qu’il ne voie pas le contenu de mon estomac, parce que j’ai eu peur qu’il me condamne moralement, s’il avait vu qu’à mon âge, je ne contenais que du sperme à cette heure du matin - bien qu’à jeun - à cause du souvenir de ma nuit...
Ensuite, j’ai dû faire un scanner thoracique.
En m’allongeant sur la table d’examen, je ne devais pas tendre assez mes petits bras par-dessus ma tête, je crois. Alors le manipulateur est venu me tirer doucement dessus, pour les placer comme il fallait... Ça m’a fait tout drôle, tu sais, de voir l’entrejambe d’un inconnu de deux fois mon âge, à l’envers, en gros plan, dans cette position. Ça m’a rappelé quand Pacôme m’apprenait à avaler son gros zizi, quand j’étais encore un bébé salope...
Lorsque cet homme a ainsi tiré sur mes bras en saisissant mes deux poignets, je flottais dans cette pensée, quand j’ai soudain ...