fin de soirée en mode salope (1) - Histoires de Sexe

fin de soirée en mode salope (1)

... culotte. On a toujours peur que quelqu’un s’en aperçoive.

Moi, c’est la grosse queue de ton copain contre mon ventre qui m’a fait mouiller..... et en plus avec ma jupe déboutonnée presque jusqu’en haut ! Tu te rends compte, deux petits bouts de tissus qui nous séparaient...... comme la tienne et la petite chatte de ta danseuse.

Il continuait de vouloir forcer mes cuisses.

— Non, attends un peu, tu m’as déjà trop fait jouir. Tourne-toi !

Je l’ai repoussé et il s’est tourné.

Je me suis plaquée contre son dos, caressant sa hanche, son ventre, frôlant son sexe, ses bourses, tout en continuant mon monologue.

— Si ça se trouve, ton copain s’est aperçu que je n’avais pas de culotte, et c’est ça qui l’a fait bander. Et s’il est tout seul, il va être obligé de se branler...... comme ça, ajoutais-je en saisissant son sexe.

Il ne répondait pas, sa respiration se faisait plus courte.

— Non arrête ! fit-il quand son ventre s’est contracté.

— Ohhh dis donc, je ne sais pas ce qui t’excite le plus : que je parle de la grosse queue de ton copain ou de la petite chatte de ta cavalière. C’est sa petite chatte, je parie ! Elle était là, juste cachée par un petit bout de tissu..... T’aurais bien voulu mettre ta grosse queue dedans, hein, comme dans la mienne quand elle est toute mouillée, toute chaude, hein, tu aimes ça... Regarde, quand je t’en parle, ta queue grossit encore... Mais tu n’as pas le droit de décharger encore, tes petites coucougnettes ne sont pas assez ...

... dures, dis-je en caressant ses bourses. Tu sais que j’aime qu’elles soient bien pleines pour que tu me fasses jouir en me remplissant le ventre !

J’ai repris ma caresse.

— Tu crois que ton copain se branle en pensant à moi ? Le pauvre, fis-je faussement attristée. J’aurais dû lui donner ma culotte, au moins il aurait pu la renifler, sentir l’odeur de ma petite chatte avant de décharger dessus.

Je suis sûre qu’il fait comme ça, dis-je en le décalottant complètement...... et puis comme ça, continuais-je en alternant des lents va-et-vient.

Mais toi, tu préférerais mettre ta petite queue dans la chatte de ta copine, hein, mon salop ! Toute chaude, toute humide... comme ça !

Je me suis penchée sur lui et ai embouché son sexe. Ma langue le caressait, l’enduisait de salive.....

— Non ! arr...... arrête !!!!!

J’ai reculé mon visage tandis qu’il se vidait en longs jets qui s’écrasèrent sur le lit.

— T’es dégueulasse ! Il suffit que je te parle de la chatte de ta danseuse pour que tu jouisses tout seul ! Tu sais bien que j’adore quand tu décharges dans mon ventre..... comment je fais moi, maintenant ? Je téléphone à ton copain ??

—..........

— Je suis sûre qu’il a fait comme toi et qu’il en a mis partout. Vous êtes de beaux salops quand même : il suffit qu’on vous parle d’une petite chatte, et voilà ! Heureusement que tu m’as fait jouir tout à l’heure, dis-je en laissant ma phrase en suspens.

Il a tenté de se retourner vers moi.

— Non, reste comme ...