1. fin de soirée en mode salope (1)


    Datte: 30/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Gigi11, Source: Xstory

    Nous avions passé une soirée ou j’avais découvert que j’adorais jouer les salopes. (je me découvre salope et j’aime ça).
    
    Après avoir salué tout le monde, nous avons regagné la voiture en silence.
    
    A peine avait-il démarré, que j’ai dit :
    
    — Tu sais que ton collègue est un beau salop ! Il s’est frotté contre moi tout le temps où on a dansé ensemble, et ça
    
    lui faisait de l’effet ! S’il avait su que je ne portais pas de culotte, je me demande jusqu’où il aurait été. En tout cas, c’est très excitant, je suis toute mouillée, tiens, regarde !
    
    J’ai saisi sa main, l’ai posée très haut entre mes cuisses.
    
    — Tu sens ?
    
    Son index s’est posé sur ma fente, et presque malgré moi, mes cuisses se sont ouvertes. Et quand ses doigts ont pincé mon clito, mon ventre s’est tendu brutalement. C’était boooonnnnn !!
    
    — Arrête, arrête, tu vas me faire jouir et je vais tacher ma jupe. Dépêche-toi plutôt !
    
    Il s’est concentré sur sa conduite. Moi, les yeux fermés, le ventre offert, je repensais aux sensations que j’avais éprouvées tout au long de cette soirée.
    
    J’ai posé ma main sur son ventre.
    
    — Mais dis donc, tu bandes ? C’est ta cavalière qui te fait cet effet-là ?...... Avoue, c’est elle ! Je suis sûre que c’est elle ! Elle avait une culotte au moins ?
    
    — Je ne sais pas, fit-il.
    
    — Pourtant, ce n’était pas difficile à savoir, quand tu caressais ses fesses, tu as bien dû t’en rendre compte.
    
    Pas de réponse.
    
    — Je suis sûre que tu sais et c’est pour ça que tu ...
    ... bandes.
    
    J’ai dézippé sa braguette, passé ma main...
    
    —---- Hummm, je crois qu’elle est aussi grosse que celle de ton collègue ! Tu crois qu’il va baiser sa femme en pensant à moi ce soir ?
    
    — Il est divorcé, fit-il, laconique.
    
    — Alors, il va être obligé de se branler......... comme ça, dis-je, en entamant un lent mouvement de va-et-vient.
    
    — Non, arrête ! articula-t-il difficilement.
    
    — Pourquoi, tu n’aimes pas ?
    
    — Si, mais......
    
    — Ne me dis pas que ta petite collègue t’a excité à ce point ! Tes coucougnettes sont toutes pleines ? Voyons ??
    
    J’ai empaumé ses bourses.....
    
    — C’est vrai qu’elles ont l’air pleines...
    
    Je continuais mes caresses.
    
    — Non....... arrête !
    
    — Pourquoi ? demandais-je ingénument.
    
    — Parce que... commença-t-il...
    
    — Tu as envie de décharger, c’est ça ! Mais tu n’as pas le droit ! D’abord parce que tu vas en mettre partout, sur tes vêtements, sur mes doigts, et parce que le sperme, c’est fait pour remplir une petite chatte comme la mienne..... ou celle de ta petite copine. Elle est toute lisse comme la mienne ?
    
    — Je ne sais pas.
    
    — Oh, je suis sûre que tu sais ! Tu as honte de me le dire ? Moi je te dis bien que ton collègue il avait une queue bien dure et qu’il l’aurait bien glissée dans ma petite chatte. Et toi, tu n’avais pas envie d’en faire autant à ta danseuse ?
    
    Il ne répondit pas.
    
    — Humm, une petite chatte toute douce..... toute humide......., comme la mienne, dis-je en posant sa main entre mes cuisses. Elle ...
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