fin de soirée en mode salope (1)
Datte: 30/06/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Gigi11, Source: Xstory
... mouillait autant que moi ?
— Je ne sais pas, je te dis !
Je continuais ma caresse, ses cuisses se fermaient nerveusement, sa respiration se faisait plus difficile...
Heureusement, nous étions arrivés.
Je l’ai tiré vers la maison, et, tandis qu’il farfouillait nerveusement dans la serrure, je lui ai dit une nouvelle fois :
— Dépêche-toi !
A peine à l’intérieur, je me suis précipitée vers le lit où je me suis affalée sur le dos, le ventre offert.
— Fais-moi jouir, j’ai trop envie !
Et, comme il commençait à défaire sa ceinture, j’ai ajouté :
— Non ! fais-moi jouir avec ta bouche.
Il s’est agenouillé entre mes jambes. Sa langue caressait mes lèvres, les fouillait avec avidité, il gobait mon bouton d’amour..... Je coulais comme une fontaine et ma cyprine ruisselait entre mes cuisses, jusqu’à mon petit œillet brun qui frémissait de bonheur sous la délicieuse brulure, c’était boonnnnn !
Une pensée furtive m’a effleuré l’esprit : qu’aurait-il fait s’il avait découvert sur mon ventre la semence de mon cavalier ? L’aurait-il goûtée d’une langue inquisitrice ou l’aurait-il lapée goulûment comme il le faisait avec ma cyprine ?
Oh, j’aurai dû, j’aurai dû aller jusqu’au bout de mes envies.
J’imaginais ce membre viril contre mon ventre, dur, tremblant de désir..... et puis ses spasmes de bonheur quand il aurait giclé sa semence chaude sur ma peau.......
Me serais-je blottie plus fort contre lui, lui murmurant à l’oreille, heureusement que je n’ai ...
... pas de culotte, tu l’aurais toute salie, ou l’aurais-je simplement regardée en souriant ?
A cette idée, mon ventre s’est tendu et j’ai joui en gémissant de bonheur.
Pendant que je reprenais mon souffle, il s’est déshabillé, s’est penché vers moi, dégrafant les derniers boutons de ma jupe, de mon chemisier.
Il caressait mes seins, les tétant goulûment..... ses mains glissaient sur mes hanches.....
— Elle a des petits seins comme les miens ?
Et quand il a caressé mes fesses, j’ai demandé :
— Et son petit cul est aussi ferme ?
—..........
— Oh allez, tu peux bien le dire, je t’ai bien dit que ton copain avait une grosse queue bien dure !
—...........
— Oh allez.....
— Oui, bafouilla-t-il.
— Ah, tu vois que tu lui as caressé les fesses. Et elle avait une culotte ? Parce que tu sais, quand je suis allée aux toilettes, deux nanas sont entrées. L’une a dit qu’elle n’en portait plus et la seconde a retiré la sienne qu’elle a laissée sur une poignée de porte. Si ça se trouve, c’était elle.
—........
— Je suis sûre que tu sais, et c’est pour ça que ta queue est toute dure. Je sais que ça t’excite quand je n’en mets pas et ça te fait cet effet-là.
Il continuait de me caresser et ses gestes se faisaient plus nerveux au fur et à mesure que son excitation grandissait. Et quand son genou tentait de forcer mes cuisses, je les maintenais serrées.
— En plus, elle devait être toute mouillée. Ca fait ça à toutes les nanas quand on ne porte pas de ...