Julie
Datte: 30/06/2022,
Catégories:
fh,
hplusag,
campagne,
Collègues / Travail
école,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... qu’ils ont fait pour toi, je ne leur arrive pas à la cheville.
— Je t’aime, tu sais. Et pas que pour le sexe, même si je me sens délicieusement moulue, le ventre et les seins en feu, comme si j’étais passée sous un troupeau d’éléphants.
— Je réfute, je ne suis pas un éléphant. Même si ma trompe est aussi en feu et reste gonflée même au repos.
— Ha-ha ! Il n’y a qu’un moyen pour calmer cet incendie, c’est de faire l’amour à nouveau.
— Si tu le dis…
Cette fois Jérôme décide de lui faire subir les derniers outrages. Elle a beau protester que ce n’est pas propre lorsqu’il lui fait une feuille de rose, elle se calme lorsque la pointe de sa langue pénètre dans sa rosette et fouille son étroit conduit, lui procurant des sensations inédites, loin d’être désagréables. Elle reprend ses protestations de pure forme lorsqu’il y introduit un, puis deux doigts. Elle sait pertinemment ce qui va lui arriver, mais elle est prête à tout pour cet homme tant elle en est follement amoureuse. Alors elle prend le parti de lui obéir aveuglément, de lui faire totalement confiance, se détend autant qu’elle le peut et se laisse pénétrer. Elle fixe sa pensée sur la beauté de cette queue qui force son étroit conduit, peu importe comment pourvu qu’elle soit en elle.
Mais le bougre est habile, ses mains lestes et prodigieusement adroites et inventives. Elles volent de ses pointes de seins à son clitoris, faisant oublier la douleur pour faire place à la montée d’un plaisir fou. Elle se laisse ...
... progressivement envahir par des vagues de sensations incroyables qui montent de tout son corps et se fracassent dans sa tête contre les dernières digues de sa raison. Puis soudain un tsunami emporte tout, raison, conscience, temps, douleur, plaisir. Dans un hurlement de bête atteinte par un javelot, elle sombre dans un état de possession dont le plaisir est le maître absolu. Tout son être n’est plus qu’un immense clitoris qui vibre aux coups de boutoir du mâle arrimé à ses hanches. La délivrance vient des puissants jets de semence qui inondent ses boyaux, accompagnés des rugissements orgasmiques de son amant, perçus comme venant d’un autre monde. Elle s’affale sur la couche, trempée de sueur, anéantie, désarticulée, comme morte.
Il fait nuit lorsqu’elle rouvre les yeux. Jérôme l’a recouverte du couvre-lit, il la veille paisible, assis dans un fauteuil.
— Qu’est-ce qui m’est arrivé ? Oh oui, ça y est, je me souviens…
Des borborygmes scabreux sortent de ses fesses dès qu’elle bouge, elle se traîne honteuse jusqu’à la salle de bains. Elle en sort en peignoir, Jérôme craint un peu sa réaction. Elle se penche vers lui pour lui donner un petit baiser.
— Ça va, demande-t-il ?
— Je suis encore vivante. Je n’ai jamais eu d’hémorroïdes, mais je crois que ça doit ressembler à ce que je ressens actuellement. Je vais avoir du mal à m’asseoir pendant au moins une semaine…
— Comme ça, tu penseras à moi. J’ai une crème apaisante et cicatrisante, je peux t’en mettre si tu veux.
— ...