1. Bruxelles et les projets européens


    Datte: 29/06/2022, Catégories: fh, hplusag, couple, extracon, cadeau, Collègues / Travail sexshop, hotel, voyage, douche, amour, noculotte, Oral pénétratio, fdanus, hdanus, hgode, jouet, portrait, Humour extraconj, Auteur: Cormobin, Source: Revebebe

    ... Mais tout de même. Là, regarde, je te laisse en plan. Je culpabilise presque.
    — Mais non. Comme tu le dis, on verra plus tard. Et puis, je n’ai plus vingt ans. Donc on se sèche, et on sort.
    — OK, je mets une petite robe.
    — Juste une petite robe ?
    — Oui, sans rien dessous. Comme tu m’as appris.
    
    Une fois habillés, si l’on peut dire, nous partons dîner. La nuit n’est pas encore tombée, et il fait bon. Bruxelles est une très jolie ville. Pas très grande. Clotilde, qui a réservé l’hôtel, a aussi repéré le coin des restaurants. Il faut juste marcher quelques centaines de mètres. Nous commençons à marcher. Clotilde nous guide avec son smartphone. Je suis tout de même étonné, et je m’en ouvre à elle :
    
    — Dis Clotilde, quel quartier tu as choisi pour l’hôtel ?
    — Je ne sais pas trop. J’ai commencé sur bouquinje, j’ai vu les avis, qui étaient bons, et ensuite, comme je te l’ai dit, j’ai appelé. C’était pas loin du centre, mais pourquoi ?
    — Tu n’as rien remarqué ?
    — Non, quoi, moi, je suis le parcours sur le smartphone. On a encore dix minutes de marche, c’est tout, on est presque arrivé. Pourquoi, tu fatigues ?
    — Non, mais il y a des putes à tous les coins de rue, et on vient de passer devant le deuxième sex-shop.
    — Ah bon ? Il faut que je regarde alors ? Quoi donc, les putes ?
    — Non, les sex-shops, je n’y suis jamais allée. Je croyais qu’il n’y en avait plus, que tout se vendait sur internet.
    — Là, il en reste, visiblement. Ce n’est pas le quartier rouge d’Amsterdam, ...
    ... mais le commerce a l’air de fonctionner. On pourrait visiter alors. Personne ne nous connaît, et j’ai une idée.
    — Pour quoi ?
    — Pour t’aider. Viens, il y en a un là, il n’a pas l’air glauque, on y va. Ça ne te dérange pas ?
    — Je ne suis pas sûre que je vais apprécier, mais on a un peu de temps. Tu ne me laisses pas toute seule.
    
    Nous entrons, et une vendeuse ne tarde pas à venir nous voir. Quelques tatouages et piercings, mais pas vulgaire. Enfin, pas trop. Elle a dû nous entendre parler, car elle s’adresse à nous en français :
    
    — Je peux vous aider ?
    
    Clotilde s’apprête à dire non, mais je la devance :
    
    — Oui, s’il vous plaît, nous cherchons un plug ou un rosebud pour Madame. Quelque chose de joli, pas trop gros, elle débute.
    
    Clotilde se tourne vers moi :
    
    — Mais de quoi tu parles ? Je n’y comprends rien. Je débute dans quoi ?
    
    La vendeuse, bonne commerçante, a compris :
    
    — Je vois, Monsieur, laissez-nous, je vais montrer à Madame.
    
    La vendeuse entraîne Clotilde qui se laisse faire, et je m’éloigne un peu. Je traîne dans les rayons et je regarde de temps en temps. Finalement, Clotilde rit avec la vendeuse. Elles ont l’air de bien s’entendre. Elles font différents rayons, je laisse faire. Je les entends rire de temps en temps, je les perds de vue même. Et enfin, je retrouve Clotilde à la caisse :
    
    — Tu as du liquide ? me demande-t-elle.
    — Oui, combien ?
    — 70 euros
    — Ah tout de même… et je les lui donne.
    
    Et je me dirige vers la sortie. Clotilde paie ...
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