1. Bruxelles et les projets européens


    Datte: 29/06/2022, Catégories: fh, hplusag, couple, extracon, cadeau, Collègues / Travail sexshop, hotel, voyage, douche, amour, noculotte, Oral pénétratio, fdanus, hdanus, hgode, jouet, portrait, Humour extraconj, Auteur: Cormobin, Source: Revebebe

    ... mari…
    — Je gère mon mari. Tu sais, on rentre demain, et après-demain, c’est lui qui part, pour trois jours. Si c’est comme les autres fois, je sais très bien qu’il va s’amuser. Je devine même avec qui. Je sais qui participe au séminaire. Donc franchement, tu ne dois pas t’en faire.
    — Tu as raison, excuse-moi.
    — Pas de souci, je vois bien que tu te soucies de moi, à la limite, ça me fait plaisir. On se prend un dessert ce soir ? On a le temps, je suis moins pressée.
    — Oui, si tu veux.
    — Je suis vraiment contente. Tu vois, ce n’est pas tant le plaisir que ça procure, quoique c’est assez agréable, finalement, c’est le fait d’avoir réussi, d’avoir franchi un pas. C’est pas le marathon, la performance est modeste, mais je suis contente. De pouvoir recommencer aussi. Quand j’en aurai envie, sans avoir mal, et avec qui je voudrai.
    — Et avec qui tu voudras ?
    — Déjà, c’est sûr, il y en a un avec qui je serai partante sans hésitation.
    — Ton mari ?
    — Pffff, il faut tout te dire. Avec toi bien entendu. Mon mari, c’est… c’est mon mari. Faudra qu’il sache faire, qu’il sache me prendre…
    
    Très grand sourire de Clotilde, satisfaite de son bon mot.
    
    — Toi, tu sais très bien me prendre.
    
    Elle insiste…
    
    — Et donc à part toi, on verra. Tu veux que je te tienne au courant ?
    — Fous-toi de moi ! Tu vis ta vie, et je souris également.
    
    Nous finissons notre repas, et nous rentrons à l’hôtel. Clotilde s’arrête à la réception, prend la clé, et me rejoint à l’ascenseur. Les corps se ...
    ... frôlent dans cet espace clos, les mains s’égarent. C’est agréable. En arrivant, Clotilde plonge dans sa valise :
    
    — Il faut que je sorte mon pyjama. Faut pas que j’oublie. Je vais le mettre.
    — Tu ne dors pas nue ?
    — Si bien sûr. Je le mets, et je l’enlève quand on passe au lit. Il faut qu’il ait l’air d’avoir servi. À la maison, aussi bien Olivier que moi, on dort avec des pyjamas. Faut que je fasse attention en rentrant de ne pas montrer que j’ai pris l’habitude de dormir nue.
    — Mais je croyais que vous faisiez ce que vous vouliez, je n’y comprends rien !
    — C’est pourtant pas bien compliqué ! T’es le chef, pourtant. Même si là, c’est vrai, j’ai un peu de mal à m’en rappeler.
    — Pourquoi ?
    — Passons… Donc je disais, et je te l’ai déjà dit, même si on s’octroie une certaine liberté, il ne faut pas pousser non plus. Je t’ai dit qu’Olivier ne pensait pas du tout que je puisse baiser avec toi. Il ne faut pas qu’il y pense, sinon, pour les prochaines fois, ça peut se compliquer. Et puis comme on se voit tous les jours au bureau, ou presque… Bref, on fait ce qu’on veut, mais on fait tout de même attention. Donc là, le pyjama, il faut qu’il soit au moins déplié. Et que j’en mette un demain soir en rentrant à la maison.
    — Et là, quel est le programme ?
    — Là ? À la réception, j’ai commandé les petits-déjeuners dans la chambre. Donc pas besoin de descendre et de s’habiller, comme ça, on gagne quasiment une heure. On aura tout notre temps demain matin. Et je compte bien qu’on ...
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