Bruxelles et les projets européens
Datte: 29/06/2022,
Catégories:
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Humour
extraconj,
Auteur: Cormobin, Source: Revebebe
... Avec Olivier, je ne suis pas comme ça.
— Ah bon. Mais au fait, le rosebud, tu l’as caché aussi ?
— Non, je le prends avec moi. Je le mettrai cet après-midi, pour être bien ouverte, d’esprit bien entendu, ce soir.
Après une petite séance collective, nous sommes répartis en ateliers, en fin de matinée, et en début d’après-midi. C’est très studieux. Je fais ma présentation, bien accueillie, et Clotilde, lorsqu’on se croise brièvement, me dit que pour elle aussi, la présentation est bien passée, auprès des partenaires, et du superviseur. Ces premières réunions sont importantes pour la suite des projets. Cela permet de jauger la qualité des partenaires, et lorsqu’il y a des possibilités de budget supplémentaire, c’est beaucoup plus facile de se positionner. Là, visiblement, on a marqué des points.
Pour la séance de clôture, nous reprenons place dans la salle plénière. Nous ne sommes pas rapporteurs, il ne faut pas non plus trop en faire. Donc pour nous, il suffit d’écouter. Clotilde se penche à mon oreille :
— C’est bon, je me prépare.
J’ai du mal à comprendre, je ne vois pas de quoi elle parle, vu qu’on ne parle plus. Elle me regarde avec un sourire qu’elle essaie de faire désespéré.
— Laisse, je t’expliquerai.
La séance se termine. Nous saluons tout le monde. Certains partenaires repartent le soir même, donc comme Paola l’avait dit, pas de repas en commun, pas besoin d’inventer une fausse excuse. D’habitude, c’est plutôt moi qui ai envie de partir, mais là, ...
... je constate que Clotilde a enfilé sa veste et m’attend ostensiblement. Je vais donc la rejoindre :
— Simon, allez, on y va !
— On va où ? Je pose la question avec un faux air ingénu, ce que je fais très mal.
— Simon, on y va.
Je vois qu’il est temps que j’obtempère.
Une fois arrivés à la chambre, Clotilde se tourne et relève sa robe, et baisse sa culotte. Assez grande pour éviter les marques. Le rosebud est en place :
— Je l’ai mis juste après le repas. C’est assez agréable en fait.
— Tu le gardes, de toute façon, non ?
— Je pense que c’est mieux si c’est toi qui l’emportes, avec « ton stimulateur ».
— On verra.
Clotilde a l’air déterminée. Elle finit de se déshabiller et elle vient se lover dans mes bras. Elle m’embrasse à pleine bouche.
— Allez, Simon, à poil.
— Oui, oui, j’arrive.
J’évite de faire de l’humour. Humour et érotisme se marient très mal. Et dans certaines circonstances, il vaut mieux s’abstenir complètement.
— Tu veux qu’on fasse comment ?
— Tu le sais, bon sang, Simon. Déjà, tu traînes, tu n’es même pas tout nu encore. Je te l’ai dit dès qu’on est parti hier, je veux que tu m’encules. Bien à fond. Comme hier soir. Mais ce soir, je veux que ce soit complet. Je veux que tu me jouisses dedans. C’est clair ? Avec ça bien au fond (et elle empoigne ma queue) et ça qui se lâche (et elle me caresse les couilles). C’est bien clair ?
— Oui, Clotilde. J’ai compris. Je vais m’occuper de toi.
— OK, mais tu ne me branles pas. J’ai trop envie ...