Bruxelles et les projets européens
Datte: 29/06/2022,
Catégories:
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Humour
extraconj,
Auteur: Cormobin, Source: Revebebe
... me regarde avec un air espiègle.
— Oui, montre.
Clotilde se tourne, soulève sa robe, et effectivement, c’est assez joli. Une petite pierre rouge orne le rosebud. Et surtout ses fesses.
— Pas mal, la couleur va bien avec la couleur de ta peau.
— Oui, c’est ce que m’a dit la vendeuse aussi. Attends, je regarde ce que ça donne dans la glace. Ah oui, ça fait presque élégant. Dommage, Olivier ne pourra pas en profiter.
— Ah bon ?
— Ben oui, je ne vais tout de même pas devoir lui expliquer que je suis allée l’acheter avec toi. On est libre, mais il y a des limites. Non écrites, non officielles, mais assez partagées. Faut pas pousser. Allez, maintenant, je l’enlève pour être à l’aise dans mes mouvements. Je ne sais pas ce que je vais te faire, mais je ne veux pas que ça me gêne. Tu te déshabilles maintenant.
Clotilde déballe l’objet :
— J’ai pris le modèle de base. Enfin, j’ai suivi les conseils de la vendeuse et elle m’a dit que c’était le mieux sans vibration et sans télécommande. Je voulais éviter les soucis à l’embarquement pour rentrer.
— Oui, c’est aussi bien.
— Allez, maintenant que tu es tout nu, à quatre pattes sur le lit.
— C’est la vendeuse qui t’a dit, pour la position, aussi ?
— Oui. Elle m’a donné des conseils. Maintenant, tu te laisses faire. Je me mets nue aussi.
Et Clotilde commence à me passer l’objet entre les fesses :
— Détends-toi, laisse-toi faire.
— Mais je me laisse faire, regarde comment je suis.
— Je vois bien que tu es crispé. ...
... Tu es tout sec aussi. Allez, je me jette à l’eau. De toute façon, je t’ai savonné tout à l’heure. Et avec ce que je compte te faire, il faudra que je me lave sérieusement les dents tout à l’heure.
Je sens la langue de Clotilde qui s’insinue, qui câline. Elle descend jusqu’aux couilles, puis elle remonte.
— Alors, c’est comment ?
— Très bon. Ça ne te gêne pas ?
— Non pourquoi ?
— Pour rien.
Je sens que Clotilde a mis un doigt maintenant. Elle appuie, elle s’amuse.
— C’est mieux, maintenant. J’y vais, tu me dis si tu as mal.
Je sens l’objet qui rentre. Clotilde fait des mouvements, plutôt doux. La sensation est agréable. Unique. Pas très forte, mais unique.
— Tu n’as pas mal, c’est agréable ?
— Oui, c’est bien. Vas-y doucement.
— J’y vais doucement. Je te signale tout de même, sans vouloir te lancer de fleurs, mais juste pour te remettre les réalités à l’esprit, que l’objet doit faire le tiers de la longueur de ta queue. Or, d’après ce que tu m’as dit, tu m’as tout mis tout à l’heure. Et j’ai encaissé. Donc, évite de la ramener. Elle pouffe.
Je ne réponds pas. Elle a raison. Elle continue, doucement.
— Les caresses sur les couilles, ça va ?
— Oui, tu sais très bien faire.
— Je te sens très réceptif, c’est très agréable. Par contre, je ne peux pas te branler, la position n’est pas facile. Tourne-toi maintenant. Doucement, faut pas que ça sorte, je ne veux pas te faire mal.
Je me tourne. Clotilde maintient l’objet.
— Voilà, c’est bien. En plus, ...